En réponse au message de Made_in_France :
Hello,
Hier j'ai pris le temps de feuilleter le magazine dont tu nous as parlé. Ok, c'est moderne, sympa au niveau de la présentation. Mais, mais ... il y a des pages que l'on peut qualifier de рогпо ... quand tu vois un сul en gros рlап ... J'ai trouvé ça dommage.
Peux tu nous résumer l'article sur les рlапs à trois, j'ai pas eu le temps de le lire ... mais ça me ferait bien marrer ^^' Je te fais confiance sur l'objectivité de ton résumer.
Bon, six euros le numéro .. c'est légèrement cher je trouve. Alors je sais, ils ont besoin de fric ... mais le prix peut freiner.
Made in France,
Je qualifie de рогпоs les revues où il y a en continu des scènes de sехe en gros рlап ! Il y a donc UNE photo de sехe, ciel !
Et l'on parle de рlап à trois ? Bien, c'est du lіЬегtіпаgе, pas de la рогпоgгарhіе ; et sans doute un dossier dit sociétal.
Quant au prix, sache qu'une revue de grande critique littéraire et artistique comme "La Quinzaine littéraire" (créée par Maurice Nadeau) coûte cinq euros cinquante ; que la revue "Archéologia" (le sommet de la revue en archéologie) coûte huit euros cinquante... que la revue "Bushido" doie être aux alentours de huit ou neuf euros !
La presse est chère, c'est bien pour cela que les bibliothèques publiques s'abonnent aussi, pour permettre l'accès des lecteurs pas friqués (la plupart), à des bouquets de quotidiens et de revues comme "Europresse", et proposent cela dans leur portail d'accueil !
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Ce qui m'importe, Made in France, c'est qu'une revue essentiellement non рогпо et gay ne soit pas assimilée à du рогпо, pas plus que l'on assimile à du рогпо les magnifiques revues où les dames peuvent voir des poitrails masculins très appétissants et causent de sехualité elles aussi.
Là est le fond de l'affaire, pas la qualité (à améliorer grandement) de cette revue.
Nous en revenons à ma colère première, à son objet, c'est-à-dire à l'assimilation faite buraliste homo=рогпо et à la confusion des genres par le rangement des revues !
Pour ceux qui estimaient contre-productive ma colère, et me reprochaient de mal représenter les homos, mon buraliste et moi, désormais, nous nous causons et avons laissé de côté les banalités coutumières !