C'était une fausse sortie ! Je reste encore
Le temps du poème ultime, le der des ders !
Un der des ders furtif : que ferai-je sans vous,
J'en suis bien ignorant ! Mais il faut que je parte !
Oui, j'ai aimé Ton Gay, un garçon m'a aimé,
Sa peau est une pèche, et je dis "mon aimé",
Un garçon m'a pêché, et je dis "mon amour",
Son esprit me veloute, humaine éternité !
Portez-vous bien, merci, "and the show must go on" !
Dans le blanc du sourire, les poissons du regard.
Entré dans la pupille, je voyage au hasard.
Les reflets sont changeants, il n'est ni tôt ni tard,
Il s'écoule un argent et des algues au miroir.
Ton âme agreste et large se рéпètге en couloir.
Ta voix de basse élève un promontoire noir
Dessus ton labyrinthe, et les dents en sautoir
- Ma puce du Mexique - bondissent chaque soir,
Décochent ton sourire. Tu es mon bel ivoire ;
Tes arcs sont des colonnes de la pureté noire
Que prodigue un soleil. Ta charpente et la moire
Laissent place aux murmures, aux déclarations voire
Aux tendresses inconnues. Le crime impardonnable
Est de snober l'amour d'un garçon fait de sable !Et voilà, Sergeclimax69007, de Lyon,
six heures avant l'élimination de mon compte,
destruction voulue par moi !
Ayez des amours tendres et beaux, vous nourrissant
le cœur plus que le train, avec des sentiments
Sans quoi n'est rien le sехe !