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Le "gender" expliqué par MPT (page 4) - Homosexualité

Sujet de discussion : Le "gender" expliqué par MPT
  • amina50 Membre confirmé
    amina50
    • 28 novembre 2014 à 21:04
    ...

    hé oui, Kiwikou!!!
    les autres en ont!!!
    car même si on est un peu agressif envers eux, ils répondent avec humour!
  • amina50 Membre confirmé
    amina50
    • 28 novembre 2014 à 21:05
    De l'humour et des c..... bien sûr!
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 28 novembre 2014 à 21:09
    IPB_160.gif
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 28 novembre 2014 à 21:09
    A mi mandat Hollande a fait le MPT.
    Les 2 1/2 ans qui reste il va faire la GPA, PMA, légaliser l' euthanasie, légaliser le cannabis.....Faute d'agir sur l'emploi, la sécurité....
  • intheair30 Membre pionnier
    intheair30
    • 28 novembre 2014 à 21:10
    Sur la légalisation de l'euthanasie, j'espère bien ! Cela serait une avancée formidable.
    Le reste se discute, je n'ai pas d'avis tranché.
  • kiwikou Membre pionnier
    kiwikou
    • 28 novembre 2014 à 21:59
    De l'humour et des c..... bien sûr!

    Bonne petite

    *Donne un chocolat*

    On voit la paille dans l'oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien.

    Médite là-dessus :)
  • longroad Membre pionnier
    longroad
    • 28 novembre 2014 à 22:36

    Après, il est vrai qu'une fille, c'est pas un garçon.
    Je vois mal des toilettes communes à l'école ou des vestiaires communs dans les salles de sport.

    Un mec sera plus apte à faire un travail physique qu'un femme, parce que physiologiquement, c'est plus costaud qu'une fille.

    Une fille sera plus apte à bosser dans une crêche, parce que c'est plus patient et plus maternel qu'un mec.

    Des mecs paternels ça existe. Parce qu'un père se doit d'être un bonhomme qui porte ses noix, il ne peut pas bosser en crèche ? C'est quoi cette idée à la con ?
    D'autant qu'il existe des nanas qui font un travail physique, beaucoup mieux que les hommes. Rien ne me choque dans tout ça. Un mec infirmier ? Sage-femme ? Une nana qui travaille la charpente ou conduit un camion ? Si c'est leur vocation, qu'est ce qu'on en a à battre de savoir si ça a une pine ou un vаgіп ?

    Et puis je suis entièrement d'accord avec la vidéo, quand elle dit que le rôle de l'école, c'est apprendre à lire, écrire, compter et ensuite apprendre un métier.
    Le respect entre filles et garçons, c'est aux parents de l'enseigner. Parce qu'en fait, il faut pas leur expliquer qu'ils sont pareils, mais leur apprendre à respecter leur différence.

    Je suis d'accord, en partie, l'école a pour fonction d'apprendre à lire, écrire, compter, mais elle forge la personnalité, qu'on le veuille ou non, la pluralité des personnalités que l'on côtoie en société façonne obligatoirement notre vision des choses. Et si l'école s'attache à réduire les préjugés à la con comme tu as pu les développer, je trouve qu'elle est tout à fait dans son rôle.

    Au final, laissez les gens être ce qu'ils sont et ont епvіе d'être, occupez vous de votre vie, et si la vôtre n'est pas assez intéressante au point que vous vous mêliez de celle des autres, alors tuez-vous, ou morfondez-vous, mais arrêtez de péter les соuіllеs aux gens.
  • xero Membre occasionnel
    xero
    • 29 novembre 2014 à 00:14
    C'est un concentré d'amalgames et de raccourcis, cette vidéo! La parité n'a rien à voir avec le fait de gommer les identités, mais à traiter les sехes d'égal à égal malgré leurs différences. Quant au fait de l'enseigner à l'école, je ne vois pas où est le problème. L'école n'a jamais été un lieu où l'on n'apprend "que" à lire, à écrire et à compter. Des notions telles que le respect, la vie en communauté, la tolérance et bien d'autres y sont enseignées depuis des décennies. Je ne vois pas en quoi la parité n'y a pas sa place.
  • yggdrasil Membre élite
    yggdrasil
    • 29 novembre 2014 à 05:45
    Voilà longtemps que je n'avais pas lu de tels propos...

    Pour lutter contre une théorie discutable, on pose des définitions toutes aussi discutables. Les filles, c'est comme ça. Les garçons, c'est comme ça. Elles ont un utérus, donc elles sont meilleures pour garder des mioches. Ils ont des muscles, donc ils empilent mieux les moellons pour élever des murs...

    Des hommes maçons peuvent aussi être des gringalets ; des femmes peuvent avoir les épaules et les paluches qu'ils n'ont pas. Quand bien même. On façonne son corps en fonction du métier que l'on exerce ; il faut ajouter, aussi, que l'ergonomie au travail progresse, et c'est heureux. Certaines marâtres, en dépit de leur foufoune, ont autant leur place en crèche qu'une tâche de pinard sur ma chemise, tandis que des bonshommes - façonnés selon le stéréotype du bucheron canadien - sont doux comme des agneaux, même avec le pire des Gnafrons.

    Je ne suis guère favorable à la рéпétгаtіоп des programmes scolaires par une idéologie ; je ne suis guère favorable, non plus, à certaines lois sur la parité, parce qu'elles confinent à imposer des recrutements fondés sur d'autres critères que le mérite et la qualification.

    Mais il n'en demeure pas moins que l'école de la République n'a pas pour seule vocation de dispenser une instruction. Elle doit garantir, aussi, l'égalité des chances. Une petite fille qui rêve de construire des maisons n'est pas un garçon manqué. Un petit garçon qui rêve d’apposer du maquillage sur un visage, ou de pouponner ne doit pas être frustré dans ses projets sous prétexte qu'il n'est pas une fille et que, sans oser le dire, on craint qu'il ne finisse pédé... Ce genre de préjugés à, un temps, fait de l'école une machine à broyer les vocations, au lieu de les encourager en proposant à chacun la filière qui lui correspond ; et cela indépendamment de ce que les élèves ont - ou n'ont pas - entre les jambes.

    C'est important. Car certaines familles sont encore vectrices de préjugés. Combien de parents refusent à leur petit garçon dinettes et poupons, parce qu'il doit devenir un homme ? Combien de petites filles ne reçoivent que ces mêmes dinettes et poupons, parce qu'elles sont des filles ? Les jouets ont été créés pour conditionner les petites filles à devenir des épouses et des mères. Les petits soldats et autres "jouets de guerre", ainsi que les jeux de construction préparaient les petits garçons à occuper une certaine place dans la société. L'école doit pouvoir développer une autre approche.

    De même, l'école a pour mission de faciliter l'intégration de chacun dans la société. Les vieux critères sur la féminité et la masculinité, présents incidemment dans les manuels scolaires, n'ont pas nécessairement de lien avec le fait d'être homme ou d'être femme. Ils ont poussé certains élèves à se sentir anormaux, et leurs condisciples à les croire anormaux. Et oui. Il y a des filles assez masculines, et des garçons assez féminins. Elles et ils demeurent des filles et des garçons ; elles et ils deviendront des femmes et des hommes.

    Je pense qu'une adaptation des programmes scolaires était nécessaire. Mais, personnellement, je serais intervenu avec plus de mesure et de pondération.
  • longroad Membre pionnier
    longroad
    • 29 novembre 2014 à 12:11
    Voilà longtemps que je n'avais pas lu de tels propos...

    Pour lutter contre une théorie discutable, on pose des définitions toutes aussi discutables. Les filles, c'est comme ça. Les garçons, c'est comme ça. Elles ont un utérus, donc elles sont meilleures pour garder des mioches. Ils ont des muscles, donc ils empilent mieux les moellons pour élever des murs...

    Des hommes maçons peuvent aussi être des gringalets ; des femmes peuvent avoir les épaules et les paluches qu'ils n'ont pas. Quand bien même. On façonne son corps en fonction du métier que l'on exerce ; il faut ajouter, aussi, que l'ergonomie au travail progresse, et c'est heureux. Certaines marâtres, en dépit de leur foufoune, ont autant leur place en crèche qu'une tâche de pinard sur ma chemise, tandis que des bonhommes - façonnés selon le stéréotype du bucheron canadien - sont doux comme des agneaux, même avec le pire des Gnafrons.

    Je ne suis guère favorable à la рéпétгаtіоп des programmes scolaires par une idéologie ; je ne suis guère favorable, non plus, à certaines lois sur la parité, parce qu'elles confinent à imposer des recrutements fondés sur d'autres critères que le mérite et la qualification.

    Mais il n'en demeure pas moins que l'école de la République n'a pas pour seule vocation de dispenser une instruction. Elle doit garantir, aussi, l'égalité des chances. Une petite fille qui rêve de construire des maisons n'est pas un garçon manqué. Un petit garçon qui rêve d’apposer du maquillage sur un visage, ou de pouponner ne doit pas être frustré dans ses projets sous prétexte qu'il n'est pas une fille et que, sans oser le dire, on craint qu'il ne finisse pédé... Ce genre de préjugés à, un temps, fait de l'école une machine à broyer les vocations, au lieu de les encourager en proposant à chacun la filière qui lui correspond ; et cela indépendamment de ce que les élèves ont - ou n'ont pas - entre les jambes.

    C'est important. Car certaines familles sont encore vectrices de préjugés. Combien de parents refusent à leur petit garçon dinettes et poupons, parce qu'il doit devenir un homme ? Combien de petites filles ne reçoivent que ces mêmes dinettes et poupons, parce qu'elles sont des filles ? Les jouets ont été créés pour conditionner les petites filles à devenir des épouses et des mères. Les petits soldats et autres "jouets de guerre", ainsi que les jeux de construction préparaient les petits garçons à occuper un place dans la société. L'école doit pouvoir développer une autre approche.

    De même, l'école a pour mission de faciliter l'intégration de chacun dans la société. Les vieux critères sur la féminité et la masculinité, présents incidemment dans les manuels scolaires, n'ont pas nécessairement de lien avec le fait d'être homme ou d'être femme. Ils ont poussé certains élèves à se sentir anormaux, et leurs condisciples à les croire anormaux. Et oui. Il y a des filles assez masculines, et des garçons assez féminins. Elles et ils demeurent des garçons et des filles ; elles et ils deviendront des femmes et des hommes.

    Je pense qu'une adaptation des programmes scolaires était nécessaire. Mais, personnellement, je serais intervenu avec plus de mesure et de pondération.

    Entièrement d'accord avec tout ça ... pour changer ... ^^

    Mais je dois avouer que j'ai plutôt hâte de voir un monde dirigé par des femmes, et les hommes, au foyer. Juste pour voir.

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