En réponse au message de hermann_a_mes_cotes :
Tu as une grande force créatrice liée à ton besoin d'écrire et d'exprimer. Ouvre la cage.
Tiens, j'ai essayé de l'ouvrir dans le texte suivant.
Et d'ailleurs, je crois qu'il est temps de recueillir des écrits
et de les soumettre, éventuellement.
J'ai fait des tris, et certifier des dépôts de textes !
Je ne me sens un peu vivant qu'en écrivant.
Il y a eu tant de silences incorporés.
Et, traduire ne libère pas le silence incorporé : sur ce fond de silence, oui, se déploie une traduction plus sensible, plus proche de ce qu'a ressenti l'auteur (portugais, en l'occurrence ; enfin, un roman et un recueil de poésies à traduire).
Merci, Hermann_à-mes_côtés : Hermann a en toi un homme, dont j'espère qu'il se rend compte de la valeur (ce n'est pas pour te gonfler le citron, tu n'en as rien à faire, pas plus que je n'écris pour les approbations).
Tu as posé une question bien rare : mais quelle est ta démarche, et tu as corrigé une approximation qui aurait pu passé à l'as sans toi, du coup me bouffissant d'une fausse référence moyenâgeuse.
Des bises, jeune homme,
,
Serge.