Dans les douces nuits d’ete, quand le ciel est constellé d’etoiles, surtout en bordure de mer, je me plais à rêver en levant les yeux vers cet infini lointain qui nous entoure et je me dis parfois que je préférerai vivre sur une autre planète qui ne soit pas enlaidie et abîmée par les hommes.
C’est bien dommage pour notre terre qui a ses origines et même bien plus tard ( jusqu’au 18 siècle ) devait être d’une immense beauté.
Ceci était ma petite parenthèse enchantée que je referme.