On sent, dans ta manière d'intituler ton "post", la présence de notre chère compagne, de celle qui ne nous lâche pas d'une semelle, de "la culpabilité", ou plutôt du sentiment de culpabilité.
Ce sentiment, c'est comme les orties ou le сhіепdent, ça repousse très vite, à peine éradiqué !!!
En fait, tu es en peine confusion, et en plus avec un sentiment très vif d'inconfort, de malaise, d'être en plein brouillard : parce que tu hésites entre décevoir des proches (oh que je connais ça) ou maintenir, vaille que vaille, grâce au non-dit, un équilibre, une paix familiale, ou que sais-je...
Mais, à bien y regarder, c'est s'amputer soi-même d'une part de soi-même, qui serait honteuse !!!
Il y a des FAUSSES culpabilités qui nous emmerdent la vie, et qui proviennent surtout de ce que l'on ne correspond pas aux attentes des autres, ou la plupart du temps à ce que l'on imagine être leurs attentes.
IL N'Y A RIEN A AVOUER !!!
Et surtout, pas de réunion de famille, solennelle, avec "l'aveu" !
Soit ça vient, au fil des jours, et il vaut mieux que ça vienne doucement, plutôt que comme un courant irrépressible, ou ça ne vient pas.
Une chose est de dire à ses proches, une autre est de SE reconnaître : le second point est le plus important et ne dépend pas du premier.
Me semble-t-il...