J'ai douté quelquefois du sourire accordé,
Sans pouvoir le donner, du moins je le pensais,
J'emploie souvent le Je pour mieux parler de nous,
Non pas par égoismement, simplement par amour
Je rentre le seul le soir après avoir donné,
Le travail quotidien, que l'on m'a demandé,
La poignée à bougé tu viens me retrouver,
Je me sens fatigué...
Le vent siffle trop fort, la vérenda est morte,
La poignée immobile, vient juste de lacher
Je prépare un café il faudrait que je sorte,
Je n'ai même plus епvіе, je me sens détaché
J'ai beau tourner en rond, les angles non pas bougés,
L'assiette est sur la table, le verre, le cendrier,
Je vais manger un peu, j'ai епvіе de pleurer,
Et sur mon agenda, reste un calendrier.
Je t'appelle souvent, j'ai besoin de t'entendre,
Tout autant de t'aimer, mais je fais moins de bruit,
Le silence d'un mot, je ne peux le compredre,
Mais je sais que t'aimer, c'est toujours aujourd'hui.
Je rentre le seul le soir après avoir donné,
Le travail quotidien que l'on m'a demandé,
La poignée à bougée, tu viens me retrouver,
Je me sens fatigué, tout te semble ordonner.
Le vent siffle trop fort, la vérenda est morte,
La poignée immobile, vient juste de lacher,
Le silence d'un mot je ne peux le comprendre,
Mais je sais que t'aimer, c'est encore aujourd'hui.