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Lecture de poèmes (page 4) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Lecture de poèmes
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 9 décembre 2021 à 20:43
    En réponse au message de sirceron :

    Je veux bien admettre avoir manqué de précisions si ça peut te faire рlаіsіг.

    MAIS

    Si tu n'as que l'insulte à répliquer abstiens-toi d'intervenir. Je n'ai que faire de tes facéties d'une autre ère.


    "Oh Dieu père paterne Qui mua l’eau en vin Fais de mon сul lanterne Pour luire à mon voisin." Rabelais


    Sur ce forum j'eusse donc été heureux de l'entendre au lieu de le faire lire!... lol
    On ne peut pas soutenir et faire le contraire de ce qu'on veut imposer aux autres.
    Serait-ce de l'égocentrisme?...
  • sirceron Membre émérite
    sirceron
    • 9 décembre 2021 à 20:58
    En réponse au message de tres-calin :

    Sur ce forum j'eusse donc été heureux de l'entendre au lieu de le faire lire!... lol
    On ne peut pas soutenir et faire le contraire de ce qu'on veut imposer aux autres.
    Serait-ce de l'égocentrisme?...

    Question égocentrisme, t'es carrément une synthèse. Dès que le mot "poème" est écrit, tu te sens obligé d'y ajouter ton grain de sel ? Et bien souvent du fiel ?


    Quand j'écris" Je n'ai pas trouvé de lecture parfaitement satisfaisante de ce poème, la fin aurait dû selon moi être plus terrifiante, la lecture manque d'énergie à la fin. Mais bon j'adore ce poème." Tu penses franchement que je me permettrais de critiquer la plume d'Hugo qui est au panthéon des auteurs que je préfère ? Non c'est la lecture qui est faite du poème qui fait l'objet de ma critique et non pas le poème lui-même. Mais je veux bien encore une fois admettre avoir manqué de précision.


    Mais depuis que j'échange ( fort péniblement) avec toi, il me semble avoir éclairci ce malentendu depuis belle lurette sur ce que j'attends dans ce topic.


  • sirceron Membre émérite
    sirceron
    • 9 décembre 2021 à 21:12


  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 9 décembre 2021 à 21:25
    En réponse au message de sirceron :

    Question égocentrisme, t'es carrément une synthèse. Dès que le mot "poème" est écrit, tu te sens obligé d'y ajouter ton grain de sel ? Et bien souvent du fiel ?


    Quand j'écris" Je n'ai pas trouvé de lecture parfaitement satisfaisante de ce poème, la fin aurait dû selon moi être plus terrifiante, la lecture manque d'énergie à la fin. Mais bon j'adore ce poème." Tu penses franchement que je me permettrais de critiquer la plume d'Hugo qui est au panthéon des auteurs que je préfère ? Non c'est la lecture qui est faite du poème qui fait l'objet de ma critique et non pas le poème lui-même. Mais je veux bien encore une fois admettre avoir manqué de précision.


    Mais depuis que j'échange ( fort péniblement) avec toi, il me semble avoir éclairci ce malentendu depuis belle lurette sur ce que j'attends dans ce topic.



    Faute avouée est à moitié pardonnée...

  • vinsang Membre suprême
    vinsang
    • 10 décembre 2021 à 18:16
    En réponse au message de sirceron :



    Bon choix, mais à part le 1er vers qui est hyper connu, ce n'est pas mon préféré.

    Tu connais l'histoire de ce poème et d'où vient le titre "el desdichado" ?blush.png

  • sirceron Membre émérite
    sirceron
    • 10 décembre 2021 à 20:37
    En réponse au message de vinsang :

    Bon choix, mais à part le 1er vers qui est hyper connu, ce n'est pas mon préféré.

    Tu connais l'histoire de ce poème et d'où vient le titre "el desdichado" ?blush.png


    Pour moi c'est le dernier vers qui est très connu et il a été repris par d'autres comme ici :

    "Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée ne sont plus entendus au banquet des banquiers." Brigitte Fontaine/Noir Désir in L'Europe

    Concernant ta question sur l'histoire du poème, non je ne connais alors je t'en prie, éclaircis-nous enfin surtout moi.

    (Au fait j'attends avec impatience de t'entendre lire le poème que tu as posté !)

  • vinsang Membre suprême
    vinsang
    • 10 décembre 2021 à 21:08
    En réponse au message de sirceron :

    Pour moi c'est le dernier vers qui est très connu et il a été repris par d'autres comme ici :

    "Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée ne sont plus entendus au banquet des banquiers." Brigitte Fontaine/Noir Désir in L'Europe

    Concernant ta question sur l'histoire du poème, non je ne connais alors je t'en prie, éclaircis-nous enfin surtout moi.

    (Au fait j'attends avec impatience de t'entendre lire le poème que tu as posté !)


    El Desdichado c'est le pseudo d'un chevalier lors d'un duel, dans le roman qui porte le vrai nom du héros : Ivanhoé. Nerval s'est inspiré de ce texte de Walter Scottgrinning.png

    (pour la lecture de mon poème, j'avoue que c'est une bonne idée...)

  • sirceron Membre émérite
    sirceron
    • 11 décembre 2021 à 23:34
    Merci Vinsang



    A force de lire les poèmes d'autrui, j'ai aussi essayé et comme je n'ai ni l'audace ni la prétention d'en faire un topic, je le poste ici. C'est le poème Impressions Romantiques de Très Сâlіп alias le jeune de 87 ans qui est en quelque sorte à l'origine de cela :

    L'Arcane sans nom

    L'impression est fugace ! Etincelles et spasmes,
    Retournent à l'impasse, au chaos des fапtаsmеs.
    En songe j'attendrai, jusque dans vos reflets !
    Fuyez si vous voulez, je vous rattraperai !

    Tout ce qui croît décroît, chute et se désagrège
    Des fardeaux que j'allège, jusqu'aux nuits que j'abrège.
    Par ma loi tout s'éteint, des bougies aux chemins
    C'est la main du Destin, de l'Atropos d'airain.

    Nul ne peut me survivre, ni les corps ni les cœurs,
    Eternel livre ivre, moi le grand harceleur.
    Je suis le temps qui passe, qui aime se repaître,
    De vos viles vies basses, vos mémoires d'ancêtres.

    Invisible et visible,
    Ma grimace risible,
    Sur vos facies hideux,
    Je la peins peu à peu.

    Puis un jour dans vos Ьоuсhеs,
    Des vers, des nids de mouches
    Grouillent des сuls aux bouilles,
    Mangeant tout jusqu'aux соuіllеs !

    Je suis le ver vainqueur, le puissant dilueur.
    Tout dégénère et meurt, du géant à la fleur.



    (La musique c'est pour mon petit côté princesse.)

    Désolé pour le vide, je crois que le dieu informatique essaie de me dire quelque chose...



































  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 12 décembre 2021 à 08:52

    L'amour muet


    Il y a la vie, il y a l’епvіе

    Il ya le silence entre moi et lui

    Il y a l’attirance de la nuit

    Il y a l’amour sans bruit !

    Il y a l’union sans aucun mot

    Entre moi et lui,

    Il ya le silence qui vit

    Ô parles, appels, dit un mot !

    Il y a un soir, sans vers

    Il y un poème à l’envers

    Il y a un petit quelque chose

    Il y a cette tragique prose !

    Il y a deux cœurs en amour

    Il y deux corps comme toujours

    Entre lui et moi

    Il y a cet absent toit !

    Il ya l’anniversaire sans lumière

    Il y a cette muette paupière

    Qui dit toujours non

    Il y a mon nom et son nom !

    Il y a... ?❤️?

  • angelirryc Dieu tout puissant
    angelirryc
    • 12 décembre 2021 à 08:58
    En réponse au message de sirceron :

    Merci Vinsang



    A force de lire les poèmes d'autrui, j'ai aussi essayé et comme je n'ai ni l'audace ni la prétention d'en faire un topic, je le poste ici. C'est le poème Impressions Romantiques de Très Сâlіп alias le jeune de 87 ans qui est en quelque sorte à l'origine de cela :

    L'Arcane sans nom

    L'impression est fugace ! Etincelles et spasmes,
    Retournent à l'impasse, au chaos des fапtаsmеs.
    En songe j'attendrai, jusque dans vos reflets !
    Fuyez si vous voulez, je vous rattraperai !

    Tout ce qui croît décroît, chute et se désagrège
    Des fardeaux que j'allège, jusqu'aux nuits que j'abrège.
    Par ma loi tout s'éteint, des bougies aux chemins
    C'est la main du Destin, de l'Atropos d'airain.

    Nul ne peut me survivre, ni les corps ni les cœurs,
    Eternel livre ivre, moi le grand harceleur.
    Je suis le temps qui passe, qui aime se repaître,
    De vos viles vies basses, vos mémoires d'ancêtres.

    Invisible et visible,
    Ma grimace risible,
    Sur vos facies hideux,
    Je la peins peu à peu.

    Puis un jour dans vos Ьоuсhеs,
    Des vers, des nids de mouches
    Grouillent des сuls aux bouilles,
    Mangeant tout jusqu'aux соuіllеs !

    Je suis le ver vainqueur, le puissant dilueur.
    Tout dégénère et meurt, du géant à la fleur.



    (La musique c'est pour mon petit côté princesse.)

    Désolé pour le vide, je crois que le dieu informatique essaie de me dire quelque chose...




































    Captain Harlock ( Albator ) heart.png


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