Les Comptines du Temps Jadis - Littérature & poésie

Je sais pas ce qui se passe ce soir , j'ai en mémoire des comptines et autres chansonnettes inutiles et désuètes qui nous ont en quelque sorte ,aider à forger notre vocabulaire et notre linguistique ; je vous partage les 2 qui me reviennent :

1 - LE Grillon Dudule (chanson)

C'était un grillon, qui s'appelait Dudule
Assit sur un rocher il ne cessait de chanter
Le cricri de la crique cri son cri cru et critique
Car il craint que l'escroc ne le craque ou ne le croque
Mais un espadon à Dédé donna Dudule
D'un don si doux Dédé fit son dada qu'il garda
Le cricri de la crique cri son cri cru et critique
Car il craint que l'escroc ne le craque ou ne le croque

2- La Marchande de Foix( comptine)

Il était une fois,
Une marchande de foie,
Qui vепԁait du foie,
Dans la ville de Foix...
Elle se dit ma foi,
C'est la première fois
Et la dernière fois,
Que je vепԁs du foie,
Dans la ville de Foix

Y"en a plein d'autres , alors a vos claviers , et partagez vos preferées , ou celles qui vous marquées !!

Bon dodo mon ami

La nuit court après le jour

Le jour court après la nuit

Ils font le tour de la cour

Bon dodo, mon ami

Fais des rêves en couleur

Avec des fleurs, des cœur

, j'la connaissais pas celle la

Fin de chasse:

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Un chasseur sachant chasser sans son сhіеп faisait séchées ses chaussettes sur une souche sèche !

a lire vite ! ( ahahahaha )

j ai bien aimer le Grillon Cricri !!)

En réponse au message de blue-arts :

Fin de chasse:

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Un chasseur sachant chasser sans son сhіеп faisait séchées ses chaussettes sur une souche sèche !

a lire vite ! ( ahahahaha )

j ai bien aimer le Grillon Cricri !!)

Merci de ton apport pat

Comme je suis une grosse fégnéasse en voilà une en vidéo! mdrrrrr

En voilà une autre!

Merci nykette, tu retombés en enfance

Nous n'irons plus au bois,

Les lauriers sont coupés,

La belle que voilà,

La laisserons nous danser ?

Entrez dans la danse,

Voyez comme on danse,

Sautez, dansez,

Embrassez qui vous voudrez !

Cette comptine date du 17ème siècle, quand Louis XIV demande la fermeture des maisons closes pour éviter la transmission des maladies chez les ouvriers qui travaillent dans les jardins de Versailles. Les maisons closes avaient souvent des lauriers accrochés sur leur façade comme repère.