En réponse au message de maplanteverteisdead :
Bonjour vous :)
Bon on est tous et toutes confrontées à des personnes qui usent et abusent des mensonges,
Dans la vraie vie, pas tant que ça, finalement, dans le coté pathologique du truc.
Le mensonge a un rôle légitime et d’autres, plus indicateurs de désordres de personnalité.
Par exemple, je trouve assez saint de mentir à quelqu’un qui fait le forcing pour te soutirer une info qu'il na pas à savoir.
Pareil quand tu es en face de quelqu’un qui cherche à te manipuler ou s’imposer à toi.
Je n'ai donc pas de scrupule à dire à une ventouse que je ne serai pas à la maison demain ou d’affirmer que je ne connais rien en mécanique à quelqu’un qui cherche à ce que lui dépanne sa bagnole.
L’alternative, que je pratique également volontiers, étant d’envoyer bouler ces pénibles.
Mais il arrive aussi que je botte en touche, plus pour eux que pour moi, en les menant en bateau.
Une façon de ménager celui qui ne mérite pas ma franchise...
Une façon facile de mentir est celle par omission.
On détient une info que l’on se retient de révéler alors que l’on vепԁ sa bagnole et que l’acheteur ne remarque pas que les pneus seront bientôt à changer.
IL y a aussi les gens qui s’inventent sans cesse et sans but précis à atteindre; une instabilité psy que je mettrai plutôt dans la rubrique pathologique.
Je n’en rencontre que rarement et ils réalisent rapidement que je ne suis pas dupe et vous butiner plus loin...
Bref, pour moi, mentir est une alternative et non un "péché".
Seule ma grande franchise naturelle fait que mon recours au mensonge est exceptionnel.