La différence entre moi et Corypheus, c'est qu'il se croit obligé d'être désobligeant, alors que je ne pointe que ses défauts ; il mitraille tous azimuts, et insinue ; il pratique l'attaque personnelle, alors que je n'attaque que ce qui le rend désagréable ; et, moi, je ne prétends pas qu'il y a une essence définitivement détestable de Corypheus, car il se trouve que je mets mes espoirs dans la capacité des êtres à changer.
Comme Corypheus a fait la démonstration, tous les jours, de l'insignifiance des mots pour lui en ce qu'il se vante d'avoir, à tout prix, toujours le dernier mot, considérons son propos comme nul et non avenu.