Attention jiminy, je vais sortir mon fouet et je vais devenir très méchante…
Sur le fond, je réagissais face à cette réalité que l'on gagne à ne pas considérer comme incontournable:
En réponse au message de stiky :
Comme n'importe quels êtres normalement constitués, nous nous sustentons chaque jour pour vivre.
On est tellement conditionné par cette obligation qu'on en vient à chercher quoi manger… pour maigrir.
Suffit de poser la question à un gosse de cinq ans pour avoir la réponse imparable: Arrete de manger !
Toi qui es jeune depuis… longtemps, tu as constaté comme moi qu'on est passé d'un temps ou on pouvait sortir de chez soi sans ressentir le besoin impérieux de prendre une bouteille de flotte avec soi à une dictature du buvez-ріssеz.
Pareil pour la bouffe avec, pour conséquence première, la sacralisation des repas, et secondaire, un grignotage quasi permanent.
Hors, décider de manger ou de ne pas manger en telle ou telle occasion, c'est une liberté que l'on ne peut s'accorder que si on est sorti de ce conditionnement.
C'est une liberté à conquérir et qui permet d'aimer manger quand on mange et d'aimer s'abstenir quand on s'abstient.
En fait, c'est un peu comme faire l'amour: C'est tellement mieux quand on le fait pour l'exultation et non pas dans le cadre de l'еsсlаvаgе de l'addiction…