Vaste sujet que voilà.
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Pour moi, le plus grand mérite de l'homéopathie, c'est de mettre en évidence le rôle fondamental du médecin.
Qu'importe que ce soit de la poudre de perlimpinpin.
Tu es souffrant, tu es inquiet et tu as un brave médecin, très conscient des limites et inconvénients de la pharmacie traditionnelle qui se dit que "rien", le patient n'y est pas prêt.
Donc, le patient se voit attribuer quelques granules de… rien.
Le médecin accueille son patient, l'écoute, le questionne, le touche, lui prend la tension, écoute son cœur, …
De plus, il lui donne souvent un truc phyto en plus qui lui, aura une efficacité connue par rapport à ce qui lui arrive.
Le patient repart rassuré, avec son petit sachet de produits.
Il va déjà mieux alors qu'il n'a encore rien pris…
Bref, on s'en fout que ça marche ou pas puisque le principal intéressé y trouve son compte.
Il sera dans une condition émotive propice à l'action réparatrice de son organisme qui, depuis la nuit des temps, se débrouille tout seul face aux aléas de santé courants qui nous font consulter.
D'ailleurs, quand on va chez le toubib et que l'on ressort avec l'ordonnance et qu'on ne l'utilise pas ou bien qu'on l'utilise mais sans ouvrir les boites ensuite, c'est kif-kif, non
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De toute façon, quand c'est plus sérieux, l'homéopathie tire sa révérence.
Perso, je ne connais pas d'homéopathe qui ne soit pas médecin.
Donc, c'est plutôt à voir comme un plus qu'un moins, finalement.