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Ma bruyère aux yeux fauves - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Ma bruyère aux yeux fauves
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 28 août 2016 à 18:36
    Que mon temps n'a point cours, sans toi mon bel amour !
    Comme tout reste vide, comme la vie s'essouffle
    Ma bruyère aux yeux fauves, comme je m'emmitoufle
    Dans les chagrins de pierre, et combien rien ne court !

    Comme je reste à court, comme le temps à courre
    Chasse et t'a octroyé, parmi sa course trouble,
    La mort sans la pitié, que le regard se trouble
    Et devient indistinct, comme le ԁоіgt est gourd !

    De tes lèvres asséchées j'ai retracé la courbe
    Et un garçon bruni de brumes et de soleil,
    Un gars des froids Atlas dans le simple appareil

    De la пuԁіté mâle, sans nulle arête fourbe,
    M'a présenté la pulpe d'un tracé fort exact :
    La mémoire a sa part, mon présent a son tact !


    Serge, de Lyon.
  • ji13 Membre élite
    ji13
    • 28 août 2016 à 19:54
    Climax de se pohéme que tu a rectifié il i a un peux de Victor Ugo et un peux du vieux testament . PLAGIA
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 28 août 2016 à 20:25
    En réponse au message de ji13 :

    Climax de se pohéme que tu a rectifié il i a un peux de Victor Ugo et un peux du vieux testament . PLAGIA

    Cela s'appelle la calomnie, Ji13, et ça ne passe pas,

    tu vas donc prouver tes dires, mon gaillard,

    et citer exactement les passages que j'aurais plagiés.

    Tu dois confondre une commune source d'inspiration

    - une méditation sur le temps et la mort - avec un décalque

    mot à mot, un vol de passages hugoliens ou bibliques !



    Soit tu prouves - textuellement

    et pas seulement par quelques mots

    qui seraient communs - la copie,

    soit tu es un vil menteur calomniateur, Ji13.


    Ce qui est inimitable, vois-tu et qui t'échappe,

    ce sont les rimes à la manière des Grands Rhétoriqueurs,

    que j'apprécie et qui, après Clément Marot, ont été décriées,

    et je te mets au défi de trouver un poème identique.

    Ce texte, je l'ai conçu devant mon écran sans "rectifier"

    un autre texte !

    Par ailleurs, "ma bruyère aux yeux fauves" est

    une condensation typiquement surréaliste

    qui exprime exactement mon compagnon mort, Simon !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 28 août 2016 à 20:35
    La Maison Climax, en cinq centaines de sonnets,
    n'a jamais plagié ; à quoi sert-il de plagier et
    de s'attribuer des mérites usurpés ?

    On m'a assez seriné que mes poèmes sont de la daube,
    et, en plus, ce serait de la daube "plagiée" ???????

    L'esprit de vengeance t'égare, Ji13 ! C'est triste pour toi !

    Il ne suffit pas d'affirmer pour que ce soit,
    il faut mettre en regard les textes et apporter
    les preuves irréfutables du plagiat !

    C'est facile pour un sonnet qui compte
    4 + 4 + 3 + 3 vers,
    deux quatrains, deux tercets,
    soit à peine quatorze lignes en totalité !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 28 août 2016 à 20:56
    On m'a assez seriné que mes poèmes sont de la daube,

    Les vilains :)
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 28 août 2016 à 20:59
    En réponse au message de draconis :

    On m'a assez seriné que mes poèmes sont de la daube,

    Les vilains :)

    Mais, pas du tout, ils sont en droit de le penser !
    Encore qu'une critique textuelle ait toujours fait défaut
    à ces détracteurs !

    Autre chose est de venir m'imрutеr un plagiat,
    je ne me laisserai pas salir et calomnier !
  • ji13 Membre élite
    ji13
    • 28 août 2016 à 21:50
    Que de mot climax je dit que tu a modifié se texte se qui spl plagia
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 28 août 2016 à 22:14
    En réponse au message de ji13 :

    Que de mot climax je dit que tu a modifié se texte se qui spl plagia

    Que d'absence de mots

    prouvant tes dires, Ji13,

    quant au plagiat

    que j'aurais commis !!!
  • nyke41 Membre suprême
    nyke41
    • 29 août 2016 à 05:44
    En réponse au message de sergeclimax69007 :

    Que mon temps n'a point cours, sans toi mon bel amour !
    Comme tout reste vide, comme la vie s'essouffle
    Ma bruyère aux yeux fauves, comme je m'emmitoufle
    Dans les chagrins de pierre, et combien rien ne court !

    Comme je reste à court, comme le temps à courre
    Chasse et t'a octroyé, parmi sa course trouble,
    La mort sans la pitié, que le regard se trouble
    Et devient indistinct, comme le ԁоіgt est gourd !

    De tes lèvres asséchées j'ai retracé la courbe
    Et un garçon bruni de brumes et de soleil,
    Un gars des froids Atlas dans le simple appareil

    De la пuԁіté mâle, sans nulle arête fourbe,
    M'a présenté la pulpe d'un tracé fort exact :
    La mémoire a sa part, mon présent a son tact !


    Serge, de Lyon.

    pour une fois c'est sоft, la se genre de poème me parle beaucoup, Merci de me faire découvrir celui-ci !
    bon moi ça seras avec une femme évidement!
  • jakou61 Membre élite
    jakou61
    • 29 août 2016 à 10:38
    J apprecie ce texte ci

    il me touche beaucoup

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