Mariposa... (page 2) - Littérature & poésie

En réponse au message de adrenalinea :

En réponse au message de kyrja :

Ah que j'aimerai avoir cette facilité des mots !

Merci Adré comme d'habitude j'aime , j'adore ce que tu écris!

Bonsoir Kirja,

merci beaucoup
pourtant je trouve mon vocabulaire et rimes bien pauvres

Tu n'as pas vu le mien

Joli conte sur fond de myhologie

Conduit, impérialement, par un tropisme ibérique,
à voir ce "mariposa"espagnol (castillan),
et à voir ce mot portugais (l'autre étant "borboleta")
dénommant et évoquant le "papillon" qui volète
dans le сhагmе des nuances et des poussières,
j'ai apprécié le choix et la sûreté des mots.

Il n'y a pas besoin - pas toujours - d'une intrigue,
il suffit d'un mot pour entamer une histoire.

Merci, Fabio, c'est bien

Cependant (je suis un emmerdeur, je sais ), tu as la coutume d'omettre la ponctuation ; admettons, quand le sujet convient, et que les phrases s'entremêlent, et que tu indiques cette confusion par cet indice supplémentaire de l'absence de points et de virgules, mais ici la logique de cette narration, dans un style classique, aurait dû t'inciter à conserver la ponctuation : un avis tout personnel, simplement !

Si un texte doit être une UNITÉ, qu'il le soit par les mots et par la ponctuation adoptée ou non : c'est un souci de cohérence pour former la cohésion de l'ensemble !

- Quand aux rimes que tu estimes "pauvres", tu as raison dans la mesure où les rimes ne sont ni entrelacées ni embrassées, mais plates, schéma : aabb ccdd eeff gghh, déjà cela appauvrit ; je crois que les rimes plates conviennent aux longues narrations !

En réponse au message de alpha13 :

Joli conte sur fond de myhologie

Bonsoir Alpha,

merci d'apprécier ce mythe revisité!!!

En réponse au message de climax69007 :

Conduit, impérialement, par un tropisme ibérique,
à voir ce "mariposa"espagnol (castillan),
et à voir ce mot portugais (l'autre étant "borboleta")
dénommant et évoquant le "papillon" qui volète
dans le сhагmе des nuances et des poussières,
j'ai apprécié le choix et la sûreté des mots.

Il n'y a pas besoin - pas toujours - d'une intrigue,
il suffit d'un mot pour entamer une histoire.

Merci, Fabio, c'est bien

Cependant (je suis un emmerdeur, je sais ), tu as la coutume d'omettre la ponctuation ; admettons, quand le sujet convient, et que les phrases s'entremêlent, et que tu indiques cette confusion par cet indice supplémentaire de l'absence de points et de virgules, mais ici la logique de cette narration, dans un style classique, aurait dû t'inciter à conserver la ponctuation : un avis tout personnel, simplement !

Si un texte doit être une UNITÉ, qu'il le soit par les mots et par la ponctuation adoptée ou non : c'est un souci de cohérence pour former la cohésion de l'ensemble !

Bonsoir Climax,
merci pour cette critique avisée, les rimes plates ne sont pas ma tasse de thé mais j'ai suivi le fil

Quant à la ponctuation, je suis l'école des mâitres qui
incitent à la supprimer, laissant au lecteur le loisir de ponctuer, elle devient tacite

merci encore et belle soirée

En réponse au message de pegase49 :

La robe gracieuse du papillon répond à l'écho des battements d'ailes du colibri...

Les deux âmes vibrent à l'unisson.

Le nectar partagé n'en est que plus sucсulent.

Surtout losqu'il a goût d'interdit!!!

En réponse au message de adrenalinea :

En réponse au message de pegase49 :

La robe gracieuse du papillon répond à l'écho des battements d'ailes du colibri...

Les deux âmes vibrent à l'unisson.

Le nectar partagé n'en est que plus sucсulent.

Surtout losqu'il a goût d'interdit!!!

Oups....

Surement que oui!

Adrenalinea, c'est toujours, pour moi, un рlаіsіг serein de scruter un texte de toi ; tu sais admettre une critique pondérée, mesurée, qui argumente DONC : là est le délice simple mais, finalement, rare.

La plupart s'abstiennent, car ils ne jugent pas nécessaire d'aller au-delà des sensations ; d'autres, incapables de ce texte, s'estiment, et c'est faux, infondés à porter une critique raisonnée (pourtant, la lecture est un art qui répond à l'art d'écrire) ; d'autres, par besoin d'admiration, omettent la critique.

Misère, et - ainsi - l'auteur reste sans un juste écho de la substance de son texte.