Même pas peur! (page 10) - Le "Blabla" bar

En réponse au message de metal :

les bruits de cannes avaient cessé. nous nous endormions enfin le lendemain, mon père me pris la main et nous sommes allés voir la concierge pour expliquer ce désagrément nocturne mon père lui expliqua mais la concierge fut quelque peu surprise car la vieille dame était décédée depuis une semaine !

Rien de paranormal, la vieille était cannée

Tu nous chante une berceuse

Bonne nuit à tous moi commence tôt demain

Bonne nuit joliefée.

Merci

En réponse au message de pegase49 :

Bonne nuit joliefée.

Howiiii j'adore tout se qui touche au paranormal ! ça me donne des frissons que rien d'autre ne peut me donner :p

Je préfère les histoires de fantômes que les légendes urbaines. Je me régale quand je regarde des émissions qui parle sur ce sujet.

En réponse au message de Keitsune :

Howiiii j'adore tout se qui touche au paranormal ! ça me donne des frissons que rien d'autre ne peut me donner :p

Je préfère les histoires de fantômes que les légendes urbaines. Je me régale quand je regarde des émissions qui parle sur ce sujet.

Lol tu serais servie avec moi

En réponse au message de Keitsune :

Howiiii j'adore tout se qui touche au paranormal ! ça me donne des frissons que rien d'autre ne peut me donner :p

Je préfère les histoires de fantômes que les légendes urbaines. Je me régale quand je regarde des émissions qui parle sur ce sujet.

Bonjour Keitsune,

Comme moi tu aimes t'amuser à te faire peur, l'émission "mystères" dont j'ai mis le générique et qui passait dans les années 90 m'à fait passer des nuits blanches...

Rien que la musique du générique était terrifiante...

D'ailleurs, voici un autre petit film retraçant l'histoire d'une famille qui à vécue dans une maison hantée.

Howiiii j'adore tout se qui touche au paranormal ! ça me donne des frissons que rien d'autre ne peut me donner :p

Keitsune
Ben c'est déjà pas très normal de vivre avec un personnage de Manga, de quoi ce donner des frissons !

Bonjour, je suis très cartésien, aussi mon cerveau analyse avant tout les sons et phénomènes tout en cherchant instantanément ce qui peut les produire.

Je désamorce comme ça toute appréhension d'un phénomène qui pourrait faire peur, et ça depuis mon adolescence.

Un phénomène humain, récurent, mais pas normal faisait mes nuits d'ado.
Pour ma survie, j'ai du recourir à des explications rationnelles pour ne pas perdre pied.

Pour fuir mes nuits fin l’adolescence j'ai décidé d'affronter la nuit dans la forêt, seul d'abord en m'y promenant pour apprendre à reconnaître et surtout à accepter les bruits incessants dans une forêt dans la nuit noire.
C'était de toutes façon pas pire que ce que je subissais chez mes parents, vu de ma fenêtre d'ado.

Ensuite j'ai décidé d'y dormir, dans cette forêt que j'ai commencé à dompter. Je donnais une explication rationnelle aux bruits et frottements que je percevais sans cesse, jusqu’à les apprivoiser.

Ça m'a apaisé, la forêt est devenue mon alliée, mon amie dans ma solitude. Mon refuge de quiétude, où je faisais l'école buissonnière quelque fois, quand des profs de l'école me gavaient

Alors quand les autres ados me parlaient de leurs peurs, sans le leur dire je décryptais leurs peurs en images d’éventements réels.

Cette obligation de survie de mon esprit, m'a par la suite de ma vie beaucoup aidée. Ainsi jeune rentré dans le début de ma vie j'ai par exemple pu traverser la Turquie (de l'époque) par tous les moyens de locomotion ce qui m'a obligé des fois à dormir dans le sillon d'un champs, dans mon sac de couchage enveloppé d'une house en plastique ou encore de dormir en Afghanistan (déjà occupée par les russes) dans une forêt à côté de mon cheval, et moi dans mon sac de couchage.

Tout ça grâce au fait d'avoir su donner des explications rationnelles à des bruits et phénomènes qui ne le sont pas au départ.

Et je me régal d'un bon film d'anticipation ou de science fiction. Ce sont mes préférés, pour le monde inconnu et les situations nouvelles qu'ils exploitent
Les films d'horreur je les aient toujours regardé avec mon cerveau qui me disait de ne pas assimiler la peur irrationnelle.
Bien sur ça n'empêchais pas les frissons ou les boules au ventre, mais je ne les transposais jamais dans une situation réelle.

Sauf, car là c'est de plus en plus possible dans le réel, des films comme le Silence des agneaux, qui m'a au contraire fait réaliser un danger possible et potentiel auquel j'ai peut être échappé dans mon passé. L'horreur et la violence absolue par l'être humain, et là c'est du concret.

Les dents de la mer, qui me marque encore aujourd'hui, mais là encore c'est du domaine du possible en ce qui concerne la voracité de la bébête, pour qq un comme moi qui nage souvent en mer, fais de la plongée ... c'est du domaine du possible

Ce qui m'a obligé très jeune à analyser et canaliser mes peurs
m'a servi ensuite toute ma vie.

Bonjour metal,

En effet, comme tu l'as expliqué dans ton témoignage éloquent, nous sommes parfois amenés à combattre nos propres fantômes...

Pour se faire cela nécessite un travail sur soi-même, de se faire violence, même!

Et là, ton esprit cartésien va sans doute pas me suivre, nos peurs produisent de l'énergie qui peut attirer, alimenter, certains phénomènes paranormaux.

Bonjour Pégase,

Si, je suis convaincu que ce sont des peurs auto fabriquées par l'acquis de ces phénomènes attirants que sont ceux de la peur qui donnent des sensations et qui fabrique et attirent, en effet, à la fois le besoin, mais les construit avec les mécanismes que l'on tirent des films et livres qui ont su faire vibrer la corde de la peur, des peurs.
Je suis bien d'accord que l'on auto entretient ce phénomène de réaction et que certains en ont besoin pour se sentir vivre.