Et hop tu viens de te replacer dans la place de la victime, suis d'accord avec le spécial "mur des lamentations" de cagoules, parce que si toi tu es pas déprimée, t'arriverais à faire déprimer un mur
Comme l'on déjà dit d'autres personnes dans différents de tes posts, tu as une femme dans ta vie, tu connais l'amour, alors arrêtes de foutre le bourdon à tout le monde, et profite de ta vie, tes souffrances ne sont rien mais vraiment rien à coté de celles de nombreuses personnes sur le site, qui ont pour moi, la décence de ne pas l'étaler sur le forum.
Et comme le dit Misterno, je ne suis pas une personne méchante, quoique, mais il y a des limites au mur des lamentations.
Part en mission humanitaire de par le monde, celà te fera peut-être réaliser que tu n'as vraiment aucune raison de te plaindre.
Je serais assez d'accord avec le fait de ne pas "étaler". Parce qu'"étaler" est livrer sa souffrance intérieure, la donner à voir à tout passant dans ce forum, et s'en détacher et attendre des autres LA solution ; tout ce que pourra donner le forum est un peu de compréhension et de сhаlеuг ; le forum n'aura jamais une fonction thérapeutique. Et une dépression, persistante (je le répète ici, après l'avoir dit ailleurs) est grave et mérite d'être traitée ; je répète aussi que chacun a des devoirs envers soi-même, dont ne pas se laisser dans une souffrance infinie et avoir recours aux praticiens adéquats.
Je suis en désaccord avec le fait de comparer des souffrances, et d'en rabaisser une au nom d'autres qui sont ou seraient plus intenses ; de plus, il y a mélange de deux réalités, que l'on doit distinguer, le malheur et la misère et les conditions de vie FAITES à des centaines de millions d'êtres humains d'une part, le sentiment de malheur et de misère qui n'est pas forcément corrélé avec la misère objective d'autre part.
--- Par ailleurs, si j'avoue que moi-même, je ne me sens pas très flambard ; et que l'on me répond "bouge-toi le сul" (réponse qui peut avoir sa validité pour certains, mais qui fait dépendre le mieux-être de la seule volonté), je dirai "certes, et puis ?"
--- Le malheur ressenti de la solitude est un des sentiments les plus douloureux qui puissent habiter chacun de nous. Ce sentiment, pesant, triste, débilitant, amer, ravageur a de ргоfопԁеs racines dans notre être, singulier, qui a bien dû apprendre, enfant, à se détacher de la сhаlеuг ou de l'absence maternelles (car on doit aussi se détacher, au cours de nos vies, des absences, qui sont comme des tгоus dedans nous : soit on y tombe et ça s'appelle le cimetière ; soit l'on comble le tгоu et cela s'appelle le travail du deuil).
--- Dois-je avouer, au rebours de certains, que l'effroyable légèreté de certains "posts" m'estomaquent ; mais que, replacés dans nos vies à tous, j'admets la nécessité de cette légèreté.