Oser… ou rendre inconsciemment les choses trop compliquées: Telle est l'alternative…
On ose quand on se sent capable, compétent.
Mais, si ce que l'on veux oser nous le parait trop, c'est que cette chose a grandit dans notre esprit, a prise le reflet de l'idéal de la perfection.
Alors, on ose pas, ce n'est pas pour nous, on est pas à la hauteur de l'aventure.
Sinon, on ose.
L'autre n'est qu'un autre moi; je lui souris, engage la conversation.
Surtout, qu'il ne soit pas L'HOMME DE MA VIE !
Dans cette hypothèse, comment oser
Cela devient une question de vie ou de mort; ça passe ou ça casse.
Face à un tel péril… je me casse…
Alors, qu'il aille se faire foutre, l'homme de ma vie.
Ce concept osé qui fait qu'on ose pas.
Que ce soit seulement l'homme d'une rencontre et, qui sait si elle ne durera pas la vie…
À ce moment là, on ose.
Une rencontre, cela se fait ou pas, rien de grave.
Échange de sourire, une poignée de main, une caresse, une étreinte, une soirée, un week-end, un été, une année,…
Autant d'étapes sans artifices, sans rien à oser puisque ce n'est que l'ordre des choses qui glissent naturellement d'un état vers un autre.
Voilà ce que j'ai епvіе de dire à ceux qui se trouvent dans le dilemme consistant à oser ou à renoncer.
Renoncer n'est pas "ne pas oser".
Non, il s'agit plutôt de voir plus gros que ce qui est.
Image d'un enjeu qui n'est pas du jeu, obnubilé que l'on est par un bœuf qui n'est pourtant qu'une grenouille.
Alors, osez, tâtez cette cuisse de grenouille.
Et, si elle se laisse cuisiner, bon appétit !