Sujet de discussion : Par ce mât de jouvence où se distend un drap
sergeclimax69007
Membre suprême
3 décembre 2014 à 18:02
Par ce mât de jouvence où se distend un drap Prolixe et magnifique, s'envolant au zénith, Ta jeunesse irascible proclame son émoi, Et, tel l'axe du monde, au mitan se déplie ;
Par ces poils frisottés, légèrement ouatés, Que j'humecte éperdu, d'une salive émue, Ta beauté se recouvre de ces doux veloutés Me faisant caresser, au plus haut de la пuе,
Tes reliefs et canyons, tes hauteurs et dédains, L'unique labyrinthe où vague ma patience Par des chemins toujours parcourus et jamais
Épuisés, ne venant pas rassasier mes faims. Et ma constance se révèle la science Du néant, car tu me voles tes entremets !
nigivir
Membre élite
3 décembre 2014 à 18:03
Ééééé, Climax! Tu es là!
yoomy
Membre suprême
3 décembre 2014 à 18:15
Par ces poils frisottés, légèrement ouatés, Que j'humecte éperdu, d'une salive émue,
OMG
nigivir
Membre élite
3 décembre 2014 à 18:27
Par ces poils frisottés, légèrement ouatés, Que j'humecte éperdu, d'une salive émue,
OMG
Danoushka, ne fais pas ton effarouchée, ça te plaît, avoue-le.
draconis
Légende urbaine
5 décembre 2014 à 14:41
Climax ! mes yeux ont perdu au moins 2/10ème, cette sехualité frontale sans prévenir, trop pour moi.
yoomy
Membre suprême
5 décembre 2014 à 18:45
C'est choquant. Il faudrait prévenir dans le titre du topic la prochaine fois ххх
cactus_sss
Membre suprême
5 décembre 2014 à 18:56
On atteint les sommets de la malséance, là, ouais !
akio
Membre élite
5 décembre 2014 à 18:58
Arrêtez de faire les tarlouzes ; c'est tout de même moins infâme que certains poèmes de Verlaine, qu'un illustre inconnu de ce site (wanderer) s'était permis de vanter sans s'immoler de honte x
yoomy
Membre suprême
5 décembre 2014 à 19:09
Ouais mais bon, le coup de la salade de poils sauce salive c'est moyennement ragoûtant. Enfin, c'est du Climax donc ça reste de qualité xx
imotep8
Membre pionnier
7 décembre 2014 à 08:58
"car tu me voles tes entremets "
ça m'a fait songer à la chanson de Gainsbourg : "pauvre lola"