Yzzug, j'ai utilisé le même mode de composition que précédemment, en regardant les photographies défiler, sur ta gauche. Le procédé n'est donc pas en cause.
Il n'y a pas d'"ignare", tu n'es pas "ignare" : si tu n'as pas compris et si le texte t'est resté obscur, c'est qu'une ligne par photo, c'est trop peu et c'est expéditif de ma part.
Donc, ce n'est pas toi qui t'es perdu en chemin,
c'est moi qui suis responsable de ta perdition,
et comme tu le dis, "je t'ai pommé en chemin". Je retiens de ta critique que :
- Il me faut davantage m'attarder sur chaque photo ;
- Il me faut avoir une atmosphère intérieure pour lier le tout du texte par un fil conducteur (bref, la technique de la mise en relation aléatoire des images doit être compensée par une idée commune, une chute, là je n'ai vu que la multiplicité, cf. ma dernière ligne) ;
- Il me faut user d'images qui soient davantage ressenties par moi-même, sinon je vais cultiver un particularisme inaccessible, et je ne le souhaite pas.
Yzzug, merci : tu m'as rendu un service,
c'est sympathique d'avoir un lecteur
qui donne un avis comme tu le fais !Et, bien sûr, je prends le bisou, tiens, et pas qu'une fois !