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Paysages Humains de Ton Gay. Multiples ! (page 2) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Paysages Humains de Ton Gay. Multiples !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2015 à 20:55
    - D'autres avis ?
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2015 à 21:03
    Je ne réponds pas à Corypheus mais à l'idée incidente
    dont il se fait le porte-parole : une pensée linéaire,
    qui met au sommet de l'esprit la logique binaire
    (et qui confond la logique avec la clarté et la cohérence)
    ne peut trouver un quelconque intérêt
    à des textes construits selon le principe
    de l'association libre des photographies,
    déterminant une libre association des idées.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2015 à 21:48
    Un visage appelé par un œil vagabond :
    Regard en promenade, glissé sur la lumière,
    Lueur en embuscade, pour une fin dernière :
    Te pêcher un аmапt tout comme à l'hameçon !

    Des cheveux ramenés comme un casque en surplomb
    Sur l'expression sérieuse : quelle est cette rapière
    Prête à percer et fendre, dessous la lucifère
    Lèvre se projetant, pour la grande oraison ?

    Une Ьоuсhе arrondie, lunettes à la dérive,
    Chuchotant un secret, celui de la noirceur
    De tes cheveux reflets, un velours de fraîcheur

    Les couteaux émoussés, puis lançant les trilles
    De l'amour consommé... De la première ardeur,
    Quelle infinie passion dépose une pudeur ?

    Climax69007, le Mardi 14 Juillet 2015.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2015 à 23:41
    Dans le coin d'une pièce, la solitude hantée
    Entre deux portes ouvrant quelle enfance oubliée ?

    Une tête penchée devant le mur très mat,
    Sérieux dans le visage, serait-ce échec et mat ?

    La blondeur des cheveux, les chevaux qui piaffent
    Dans les yeux en rivière éclaboussé d'orages..

    Fenêtres de guingois, ombreuse est la clarté,
    Mais ton regard est droit, lumière d'Astarté.

    Divers est ton visage, démultiplié homme,
    Et je visite en toi les pièces vides en somme

    Pour ne trouver que moi dans un désert peuplé
    De mon roi et chimère, argenté peuplier.


    Climax69007, le Mardi 14 Juillet 2015.
  • alycia1969 Membre confirmé
    alycia1969
    • 15 juillet 2015 à 00:02
    Bravo aussi a toi pour avoir partager une partie de toi je te souhaite a toi aussi plein de jolie choses car on a tous un chemin de tracer il faut juste s`avoir attendre la bonne personne alors bonne chance a toi et merci d`avoir pris un instant pour lire mon histoire de ma vie en toute amitié alycia.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 15 juillet 2015 à 00:37
    Alycia,

    Ce que tu as tracé de ton histoire est très touchant, non pas uniquement pour ce que cela révèle des souffrances subies, à réparer en toi-même, mais pour son esprit de vérité.

    Tout esprit de vérité commandant un texte met à l'épreuve son lecteur, et il met en œuvre en lui un retour sur lui-même : il y a là un jeu d'échos et de consonances.

    Ce que j'énonce là vaut, Alycia, comme tu l'as bien compris, pour ces textes-ci.

    Voilà.

    Merci de les avoir lus,

    Climax.
  • alycia1969 Membre confirmé
    alycia1969
    • 15 juillet 2015 à 00:41
    Merci a toi de venir me dire ce jolie message prend soins de toi.
  • diogene30 Membre confirmé
    diogene30
    • 15 juillet 2015 à 14:23
    "Les poetes ne sont pas intéressés par les faits, mais seulement par la vérité.,Leur vérité est si inébranlable que même ceux qui haïssent les poetes par simple instinct naturel sont exaltés tout autant que terrifiés par eux ".

    William Faulkner.
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 15 juillet 2015 à 16:31
    William Faulkner aussi fumé de la ԁгоguе alors?!
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 16 juillet 2015 à 00:30
    J'ai scruté les visages, j'ai perçu la blancheur
    Qui descend dans la nuit. - Tu étais mon rôdeur.

    Je regarde un regard, entremis un fantôme,
    Et pourtant la douceur... - Et tu étais mon homme.

    Viscosité des pluies, le grand vent sur Minuit,
    Mais cet œil attendri... - Mon plus doux ennemi.

    Tout comme un air de jazz, une moue détachée
    Fait l'amour au passant. - Ma silhouette hachée.

    Le Grand Bleu anonyme nous annonce la Chine
    Et les salubres Orients. - Mon Goanais іпtіmе.

    Le prince du Maroc sous les stucs, sur le roc,
    A des yeux d'améthyste. - Mon printanier rock.

    Un regard qui perce au Pôle Nord, et plus loin,
    Par un сhагmе abyssal. - Mon courage au lointain.

    Je compte les muscles aux peaux exactes et plissées,
    Ils ne me tarabustent... - Mes grandes larmes hissées.

    Sonnez donc les alarmes, ô passants inconnus,
    Et que soient de votre œil les passé contenus.


    Climax69007, le Jeudi 16 Juillet 2015.

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