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Peut-on etre homo et avoir un handicap reconnu? (page 2) - Entre filles (forum lesbienne)

Sujet de discussion : Peut-on etre homo et avoir un handicap reconnu?
  • samsuntro Membre expérimenté
    samsuntro
    • 11 juin 2011 à 00:03
    Handicap c de pouvoir trop aimer
  • plus74 Membre expérimenté
    plus74
    • 11 juin 2011 à 00:19
    Nan tu peux pas... un paraplégique aveugle et GAY n'est pas considéré comme handicapé d'après la loi.

    (Comment ça j'ironise?!)

    pourquoi par ce qu'il est gay en meme temps mdr
  • lucette51 Membre occasionnel
    lucette51
    • 11 juin 2011 à 09:39
    Voila j'aimerai savoir s'il y a des gens qui connaissent d'autres personnes homo ou eux memes ont une reconnaissance d'un handicap quel qui soit. merci beaucoup

    oui j'ai des am(i)es handicapé physique qui son Gay et Lesbiennes


    et sa se passe bien
  • samsuntro Membre expérimenté
    samsuntro
    • 11 juin 2011 à 12:14
    Tu ressemble a richard anconina ma pauvre lucettesur cette photo
  • lucette51 Membre occasionnel
    lucette51
    • 11 juin 2011 à 13:13
    Tu ressemble a richard anconina ma pauvre lucettesur cette photo

    C'est un compliment? lol
  • keny.arkana972 Membre habitué
    keny.arkana972
    • 11 juin 2011 à 13:33
    C'est sur mais un(e) schizophrène peut etre homo ou lesbienne?
  • soleilbleue Membre confirmé
    soleilbleue
    • 11 juin 2011 à 17:24
    C'est sur mais un(e) schizophrène peut etre homo ou lesbienne?

    elle peut être les deux comme çà y a moins de prise de tête !!!!
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 11 juin 2011 à 22:00
    C'est sur mais un(e) schizophrène peut etre homo ou lesbienne?

    Je ne sais pas, moi non plus, quelle serait la vraie question que tu désirerais poser et que tu ne poses que de manière indirecte, louvoyante, nébuleuse, bref comme le poulpe qui lâche de l'encre dans son sillon pour protéger sa fuite.

    Il est certain qu'un état schizo-paranoïde est un tel éclatement de la personnalité et une telle terreur vécue continuellement que celui qui le porte et le subit peut douter de son orientation sехuеllе, tant le monde et lui-même sont bizarres à ses yeux.

    La schizophrénie n'est pas, en soi, un handicap ; la schizophrénie est un ensemble de traits psychiques qui permettent d'assigner quelqu'un dans cette situation de schizophrène : c'est tout au plus un diagnostic et un thérapeute se gardera bien, s'il poursuit avec un patient un traitement de pscychothérapie, de lui lâcher ce genre d'étiquette en travers de le gueule, parce que c'est la plus sûr moyen que le patient devienne un schizophrène chronique.

    Ensuite, il y a autre chose qui est la reconnaissance d'un handicap d'ordre psychique : comme nous avons affaire, là, avec de l'insu, de l'immatériel, de la sensibilité, et avec une vision du monde (qui fait souffrir celui qui en est le porteur), en bref avec du non quantifiable et de l'invisible, il faut que tu saches que toute reconnaissance de ce type de handicap doit être appuyée par un dossier on ne peut plus bétonné, et que dans le certificat descriptif (celui qui est mis dans un pli confidentiel et qui n'est lu que par qui de droit) le médecin qui le rédige doit forcer les traits, et ne pas lésiner sur les caractérisations.

    Ce qui signifie que celui qui souffre d'un handicap psychique, mettons d'un état schizo-paranoïde, qui le handicape gravement dans la conduite de sa vie et dans sa capacité à exercer une profession salariée, doit avoir la force de solliciter pour sa survie alimentaire (allocation pour adulte handicapé) et sa sauvegarde sociale (statut de travailleur handicapé) mais qu'il doit avoir aussi la force de ne pas se dire que cet état est incurable.

    Car la psychanalyse freudienne conduite par des gens formés peut après bien du travail mené en commun avec le patient l'amener à changer.

    Ceux qui voudraient des témoignages peuvent me les demander.
    Je leur donnerai les références des divers ouvrages en vente publique.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 11 juin 2011 à 22:10
    Je ne citerai pour commencer que les ouvrages du docteur Antoine Appeau qui a pendant plus de trente ans, dans ce pays, dirigé la seule institutions de soins, avec des groupes de psychothérapie psychanalytique (30 heures de groupes par semaine) ; les ouvrages du très injustement méconnu en France et génial Wilfred Bion, qui a été un des précurseurs du traitement du stress post-traumatique des soldats et qui a travaillé dans la lignée de Mélanie Klein ; de Salomon Resnik, qui a supervisé des institutions en France, en Italie, en Argentine et qui, surtout, a monitoré des groupes de patients schizophrènes et "borderlines" (cas-limites).

    Voilà les références de la psychanalyse, qui battent en brèche les âneries du "Livre noir de la psychanalyse" !
  • native Membre confirmé
    native
    • 11 juin 2011 à 23:21

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