En réponse au message de superbi :
Hollande qui avait pour ennemi la finance mettre Macron ministre : quelle trahison !
Comme Роmрidou était d'ailleurs un espion de Rotschild :
Il a tout fait pour eux et comme il faut ce sont des faits !
Je te conseil de te renseigner sur la loi Роmрidou Giscard de 1973
Excuse-moi, mais tu apportes de l'eau à mon moulin.
Je condamne la politique suivie et par Macron et par Vallaud-Belkacem. Et je vois la trahison à l’œuvre.
Mais, écrire d'un homme, Georges Роmрidou, qu'il était un "ESPION" de la banque Rotschild, alors qu'il en était issu, et que cette origine professionnelle et cette promiscuité entre milieux d'affaires et gouvernement montraient dès cette époque la рéпétгаtіоп caricaturale du pouvoir politique par le capital financier, c'est adhérer à la thèse du complot manipulateur, thèse chère à l'extrême-droite et qui est une des constantes de son discours politique.
Il est très différent de reconnaître que des banquiers sont aussi, directement, des gouvernants ; et, d'ailleurs, cette identité fréquente n'a fait que se multiplier, depuis les années 1970, au point que Mario Draghi, le directeur de la Banque centrale européenne (BCE), indépendante de tous les gouvernements de la zone Euro - on ne peut imaginer une disposition constitutive qui favorise davantage le capital financier - émane directement des marchés financiers, via la banque d'affaires Goldman Sachs !Nous ne sommes pas du même bord, donc, voilà tout.
Entendons-nous : ce qui m'importe, c'est la délimitation
et la distinction des positions politiques ;
ce n'est pas de "diaboliser" l'extrême-droite, qui suffit
amplement par ses haines programmatique à se déconsidérer.
Et cette volonté-là, de clarification, que je mets en œuvre
est, typiquement, une nécessité de la gauche politique.