Bien... Oui, il y a de l'orage dans mon atmosphère !
Titre agressif ? Un chouïa, un brin !
Je vois autour de moi une seule nuée, le Ьіsехuеl marié pullule.
Dans cette galaxie, j'ai eu un quarantenaire - un, vraiment gentil - qui m'a dit qu'on ne l'avait jamais caressé ainsi comme moi : bordel, que fait donc sa femme, sa chère, sa tendre ?
Je n'ai pas eu le malotru que j'ai attendu un certain jour en vain et qui, à mes textos, ce jour-là n'a rien répondu. J'ai appris plus tard (bien un mois plus tard) que pour lui la famille passe avant tout et qu'il partait en vacances prématurément : je dois donc en conclure que cela l'empêchait de s'isoler quatre minutes aux WC pour composer un texte d'excuse.
Hier, j'avais sur mon profil un homme marié, demandant la discrétion, et se réservant par le tchat préalable la possibilité de faire le tri (si j'ai compris ses symboles et son annonce).
Voyez l'inégalité et le mépris à l’œuvre dès le départ : le Monsieur est demandeur mais il n'entame pas la conversation ; c'est moi qui devrais le séduire, moi, le pédé, qui n'obtiendrai pas, de sa part, le début du commencement d'une considération égale à celle que ce Monsieur accorde à son épouse.
Cela commence à bien faire, oui !
Pour qui prend-on les pédés ?
J'en ai ras le bol, non pas des Ьіsехuеls,
mais des hommes mariés et Ьіsехuеls,
qui Ьаіsеnt à tous les râteliers,
qui font peser le poids de leur clandestinité sur la relation avec eux,
qui mettent l'éventuel partenaire homo à la portion congrue,
qui font languir, languir, languir, que c'en est une éternité,
et qui finalement se révèlent être des goujats.
Ces hommes-là n'ont aucune représentation en eux du désir hоmоsехuеl plein, entier, qui à juste titre peut prétendre - oui - à se développer, à prendre ses aises, à se déployer en une relation d'amour digne de ce nom !
Je vois rouge !Je généralise ? Mon сul, oui !
(Je serai poli quand on le sera avec moi !
)