Ok poupiq ou est la corde
Je comprends Hugo : c'est vrai qu'il émane de la tristesse, d'abord, mais c'est une émotion qui -ensuite- se transforme en un sentiment de plénitude.
C'est une manière de faire un retour à soi-même, de mieux s'habiter, de se retrouver.
D'abord des larmes, mais SANS NOIRE AMERTUME, et puis une expansion à l'intérieur de soi.
C'est, du moins, ce que, moi, je ressens SUCCESSIVEMENT à l'écoute de ce "morceau" de Renée Fleming.
----- Merci, Poupiq