En réponse au message de jiminy :
En réponse au message de climax007 :
On y pratiquait la psychothérapie de groupe psychanalytique
avec vingt-sept heures de groupes
possibles chaque semaine !
!
La psychothérapie de groupe existe bel et bien
et ses bienfaits sont pourtant reconnus.
Dommage que les individualités l'emportent sur le groupe...
les deux peuvent être très positifs.
Oui, mais, dans l'Ordre des Normopathes exemplaires,
sans processus inconscients à ce qu"ils et elles croient
car la mode est de cracher sur S. Freud et sa découverte,
cela crée un mélange égalitaire suspect, scandaleux,
où le psychothérapeute n'intervient pas au nom du Savoir,
mais parce qu'il ressent et pense avec ses affects,
et qu'il peut donner un élan (intégrant en un tout cohérent)
à chaque patient auquel il restitue des parties perdues
de lui-même, reconnues au travers des autres
(l'effet-miroir). Voir ce que j'en ai écrit plus haut.
Cela crée un monde autour d'une table ronde où chacun
a un fonctionnement psychique peu ou prou identique,
malgré des histoires individuelles singulières :
ce n'est pas assez répressif pour le monde du mépris
envers "les fous". Et cela socialise et humanise trop
"les fous", ce bain de langage humain,
cette attention des patients et du thérapeute
pour chacun et tous : bref, pour ceux qui croient
qu'il faut dresser "les fous" et les enfermer,
le groupe de psychothérapie psychanalytique
est un scandale à supprimer, Jiminy !L'institution de psychothérapie populaire
"LA CHAVANNERIE" de Chaponost en est morte,
de la normopathie agissante des organismes
ne la reconnaissant pas, de la Sécurité sociale,
malgré toutes les participations d'inspecteurs
de la Sécurité sociale aux groupes
comme observateurs pendant des jours et des jours,
et malgré leur émerveillement sidéré.
Seul l'acte dit "individuel" est codifié,
alors comment fait
cette bureaucratie pour un groupe
vivant d'inter-relations et pour chacun ?
Elle ne reconnaît pas qu'il y a là un soin,
et considère "La Chavannerie"
comme une maison de repos atypique, bizarre.
Et, pensez donc, son directeur a TOUJOURS
refusé de fermer les portes de "LA CHAVANNERIE",
sauf la nuit, alors qu il y aurait eu "des fous" dangereux.
RIP La Chavvannerie depuis, environ, car elle a opposé
des résistances aux repreneurs assassins, l'année 2003,
année de suppression des groupes larges et petits !
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Mais bien sûr que les psychanalystes sont
des chercheurs ; et bien sûr qu'ils ont prouvé,
pour les psychotiques notamment,
(voir les ouvrages de Salomon RESNIK,
par exemple) que le groupe permet aux psychotiques
de se mettre en Ьгапlе, de sortir de l'inertie,
de regarder peu à peu en eux, de ne plus éliminer
ce qui leur est douloureux (clivage, projection, refoulement,
les moyens sont multiples, et même refroidissement
total de soi), de se le formuler en eux, de l'énoncer
et donc de l'envisager, et de rassembler les morceaux !
Pourquoi croit-on que j'ai été véhément
et débordant ??? Parce que j'aurais été atteint
dans mon amour-propre ?
Non, j'ai été atteint par
une question GOGUENARDE CRUELLE
dans la dignité de la psychanalyse qui m'a sauvé :
plus haut, j'ai énuméré
des traits de mon tableau cliпіԛuе PASSÉ,
fort désespéré, et je me fous de passer, ici,
pour un "fou" aux yeux des normopathes
gavés de normopathies diverses..
J'ai vécu avec "des fous" et "des folles" :
j'ai vécu la souffrance, je l'ai vécue en moi
et ressentie en moi, pas vous pour la plupart,
qui CAUSEZ comme on cause au salon de thé,
mon Dieu, de l'éventualité de la psychothérapie,
mais, bien sûr, vous n'êtes pas assez "fous", hein,
pour vous y abaisser et vous y atteler avec persistance ?
Seules quelques personnes honnêtes que je salue :
Medievale, Seligkeit, Lagrinch et c'est à peu près tout, ah
Ргéрuсе qui sait utiliser un groupe informel, Ton Gay !
ET C'EST LE DÉSERT DE LA CAUSETTE, SINON.
Il n'y a pas de choix qui serait "Psy... Pour ou contre ?"
Au vu des souffrances humaines, cette question
est une infamie. Je le déclare hautement et JE JUGE
à bon droit cette alternative ne se posant pas
UNE INFAMIE ÉNORME et GROTESQUE.Ah oui, c'est long ! Que les pense-facile
passent leur chemin, je n'ai jamais existé
pour eux et pour leur simplisme assassin du genre
"Il y a encore des fous A ENFERMER".CECI REMPLACERA AVANTAGEUSEMENT
TOUT ÉDITORIAL DU "MONDE", DU "FIGARO",
OU DE "LIBÉRATION" que vous liriez distraitement
la tête ailleurs demain matin, comme chaque jour !