si l on suit ton principe c est un cercle sans fin et c est cela qui même a l évolution ?
oui certes c es t vrai que se monde évolu de manière très étrange j avoue je m en suis deja fait la réflexion sur de nombreux sujet mais je ne penses pas qu il évolu qu en bien comme cela !!!
je prefere pour ma part ouvrir les esprits et que les âmes s apaisent plutôt que rendre "un mal pour un mal" !!
ex: il me tape, je le tape et ainsi de suite jusqu'à quoi ? la mort ? !!
Mon principe, si j'en avais exposé un, et c'est loin d'être le cas, ce serait plutôt: il me tape depuis des siècles, c'en est devenu une habitude malgré tout... un beau jour, je me mets en colère contre lui, ensuite je cherche à comprendre pourquoi, quel intérêt il a à me taper, pourquoi moi et pas une autre, qui est d'ailleurs dans une même situation, pourquoi je me suis laissée faire, qui a déjà réussi à le faire cesser, et toute cette colère envers lui et la prise de conscience me permet de faire deux choses: exprimer haut et fort mon refus de la situation, et travailler pour la faire cesser selon mes moyens et le pouvoir que j'ai dans cette situation donnée (pouvoir augmenté par la conscience et le sentiment de rancoeur). Je n'ai jamais dit que j'allais le taper à mon tour. Je n'ai pas dit quels moyens j'utilise pour faire ma révolution. Tu as tiré tes conclusions. Ainsi, ai-je la permission d'en conclure que la colère, tu ne la canalises jamais de façon constructive? Pire, que tu l'étouffes sans jamais tenter de comprendre vraiment pourquoi tu la ressens? Quiconque me connaît, d'ailleurs, sait que ma haine, mon mépris, ma rancune, ma colère est le carburant le plus puissant de ma progression dont le moteur est mon approche non-violente, pacifiste. On peut me menacer, m'insulter, brandir ses points, et j'en pleurerai de frustration, mais je ne frapperai pas.
Et, si tu lis plus attentivement, tu verras que je dis que le mépris haineux envers les oppresseurs est une expression maladroite de la rancoeur et du mépris envers les mécanismes de l'oppression. L'expression est maladroite, la rancoeur, bien fondée puisque qu'elle est dirigée envers les privilèges dont jouissent les hétéros dans une société qui marginalise les LGBT.
Il n'y a pas d'hétérophobie, il n'y a que des gens LGBT qui ne lisent pas entre les lignes quand leurs frères et soeurs LGBT expriment maladroitement leur douleur.