C'est merveilleux, Superbi !
Si seulement il se donnait les moyens de se la péter... mais même pas. Il y a de l'effort, mais tout respire le low cost, entre le costume "50% polyester" non adapté à sa morphologie, les lunettes rouges "tout à deux euros" du marché, la posture faussement décontractée et le mouvement erratique pour se donner une constance qu'il n'a pas, les chaussures simili cuir, le jus de pomme dans la flûte à champagne (eh oui, ça ne pétille pas), les mots mal choisis, et la coupe de cheveux "trois minutes chrono" à la tondeuse.
C'est hautement intéressant que dans son commentaire, il se pose en supérieur du cycliste à travers le prisme de la classe sociale.