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Rajouter ou retirer (page 29) - Jeux & divertissements

Sujet de discussion : Rajouter ou retirer
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2020 à 12:49
    En réponse au message de thheo :

    Le pauvre, son appendice était Il plus petit que son nez ?


    je le pense

    car dans le texte on ne trouve son appendice sité!

  • jupiter555 Membre confirmé
    jupiter555
    • 15 mai 2020 à 12:50
    En réponse au message de thheo :

    Le pauvre, son appendice était Il plus petit que son nez ?


    pour rappel : ahahah



    Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !

    On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…

    En variant le ton, – par exemple, tenez :

    Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,

    Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »

    Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse

    Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »

    Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !

    Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »

    Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?

    D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »

    Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux

    Que paternellement vous vous préoccupâtes

    De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »

    Truсulent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,

    La vapeur du tabac vous sort-elle du nez

    Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »

    Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée

    Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »

    Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol

    De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »

    Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane

    Appelle Hippocampéléphantocamélos

    Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »

    Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?

    Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »

    Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,

    T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »

    Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »

    Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »

    Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »

    Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »

    Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,

    C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »

    Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !

    C’est ԛuеuqu’navet géant ou ben ԛuеuqu’melon nain ! »

    Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »

    Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?

    Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »

    Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :

    « Le voilà donc ce nez qui des traits de son mаîtге

    A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »

    – Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit

    Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit

    Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,

    Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres

    Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !

    Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut

    Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,

    me servir toutes ces folles plaisanteries,

    Que vous n’en eussiez pas articulé le quart

    De la moitié du commencement d’une, car

    Je me les sers moi-même, avec assez de verve,

    Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

  • thheo Membre pionnier
    thheo
    • 15 mai 2020 à 12:51
    En réponse au message de tres-calin :

    je le pense

    car dans le texte on ne trouve son appendice sité!


    Quelle infortune pour un si grand homme

  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2020 à 12:53
    En réponse au message de jupiter555 :

    pour rappel : ahahah



    Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !

    On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…

    En variant le ton, – par exemple, tenez :

    Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,

    Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »

    Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse

    Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »

    Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !

    Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »

    Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?

    D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »

    Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux

    Que paternellement vous vous préoccupâtes

    De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »

    Truсulent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,

    La vapeur du tabac vous sort-elle du nez

    Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »

    Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée

    Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »

    Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol

    De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »

    Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane

    Appelle Hippocampéléphantocamélos

    Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »

    Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?

    Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »

    Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,

    T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »

    Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »

    Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »

    Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »

    Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »

    Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,

    C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »

    Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !

    C’est ԛuеuqu’navet géant ou ben ԛuеuqu’melon nain ! »

    Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »

    Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?

    Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »

    Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :

    « Le voilà donc ce nez qui des traits de son mаîtге

    A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »

    – Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit

    Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit

    Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,

    Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres

    Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !

    Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut

    Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,

    me servir toutes ces folles plaisanteries,

    Que vous n’en eussiez pas articulé le quart

    De la moitié du commencement d’une, car

    Je me les sers moi-même, avec assez de verve,

    Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.


    merci pour l'envoi de ce beau texte

    et lorsqu'il est interprété sur scène c'est magistral!

  • thheo Membre pionnier
    thheo
    • 15 mai 2020 à 12:55
    En réponse au message de jupiter555 :

    pour rappel : ahahah



    Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !

    On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…

    En variant le ton, – par exemple, tenez :

    Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,

    Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »

    Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse

    Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »

    Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !

    Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »

    Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?

    D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »

    Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux

    Que paternellement vous vous préoccupâtes

    De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »

    Truсulent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,

    La vapeur du tabac vous sort-elle du nez

    Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »

    Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée

    Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »

    Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol

    De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »

    Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane

    Appelle Hippocampéléphantocamélos

    Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »

    Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?

    Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »

    Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,

    T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »

    Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »

    Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »

    Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »

    Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »

    Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,

    C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »

    Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !

    C’est ԛuеuqu’navet géant ou ben ԛuеuqu’melon nain ! »

    Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »

    Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?

    Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »

    Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :

    « Le voilà donc ce nez qui des traits de son mаîtге

    A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »

    – Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit

    Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit

    Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,

    Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres

    Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !

    Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut

    Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,

    me servir toutes ces folles plaisanteries,

    Que vous n’en eussiez pas articulé le quart

    De la moitié du commencement d’une, car

    Je me les sers moi-même, avec assez de verve,

    Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.


    C'est du pur génie

    Admiratif je suis

  • jupiter555 Membre confirmé
    jupiter555
    • 15 mai 2020 à 12:56
    En réponse au message de thheo :

    C'est du pur génie

    Admiratif je suis


    joué par Jacques Weber .... Wahouuuuuflushed.pngblush.png

  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2020 à 12:57
    En réponse au message de thheo :

    Le pauvre, son appendice était Il plus petit que son nez ?


    je vais aller moi me mettre à роіl dans mon jardin pour me faire caresser par le soleil à défaut d'un beau mâle...et à barre bien sûr!!!

    Malabar aussi!...

    mais ça me fera du bien!!! lol

    Amusez vous en attendant!

    Bisous


  • thheo Membre pionnier
    thheo
    • 15 mai 2020 à 12:59
    En réponse au message de tres-calin :

    je vais aller moi me mettre à роіl dans mon jardin pour me faire caresser par le soleil à défaut d'un beau mâle...et à barre bien sûr!!!

    Malabar aussi!...

    mais ça me fera du bien!!! lol

    Amusez vous en attendant!

    Bisous



    A bientot

  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2020 à 17:07
    En réponse au message de thheo :

    A bientot


    je propose le mot:

    malabar

  • thheo Membre pionnier
    thheo
    • 15 mai 2020 à 17:39
    En réponse au message de tres-calin :

    je propose le mot:

    malabar


    Barbaque


    Normal

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