J'adore les poils, et s'il m'arrive de les tondre ou de les couper sur moi, c'est dans l'espoir qu'ils repoussent plus drus, plus vivaces, plus épais. Le poil qui a repoussé, s'il peut être piquant pendant un temps, a bien de l'allure !
L'homme sans poil est comme un homme sans habits ! Quelle пuԁіté !
Et, j'adore faire frisotter les poils du bout des ԁоіgts, et les enrouler autour du ԁоіgt, sur une poitrine masculine (pas sur celle de la femme à barbe) : bref, le poil est éгоtіԛuе et charmeur, c'est un petit соԛuіп qui se redresse fièrement dans sa douceur.
Donc, pas de phobie du poil. Oh non.
Tu emploie un mot que je rencontre pour la première fois, "acomoclitique". Bien sûr il y a des dictionnaires, mais qu'est-ce que c'est que ça ?
Pour "clitique", ça va encore, mais "acomo" ? Kézaco ?