Vinsang, le récit de voyage porte par excellence la marque de la subjectivité d'une vision.
C'est l'étonnement du récit de "La France antarctique" devant les mœurs et coutumes des Amérindiens de l'actuel Brésil ; c'est le récit de voyage de Maxime Du Camp le long du Nil qui porte, dans ses innombrables énumérations de lieux, de faits, d'objets, d'humanités, une efflorescence digne des somptuosités de "Salammbô" de Gustave Flaubert, son compagnon de voyage.
Et combien de récits de voyage, teintés de fantastique, à des époque où l'imaginaire donnait naissance à des êtres crus effectivement vivants ???
Je te remercie pour ce lien qui témoigne, une fois de plus, de la vivacité de la recherche dans le grand Ouest de la France.
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--- En ces temps qui dénient à des peuples (surtout aux Africains) la dignité et le déroulement historiques, il est important, et utile pour la santé mentale et pour la vérité, d'avoir des documents ethnologiques nous montrant des individus et des éléments de diverses civilisations.
Voilà pour l'objectivité !