En réponse au message de draconis :
Un membre qui prend du рlаіsіг à décharger, quoi, son malaise, son esprit de vindicte, son désir irrépressible de nous faire croire qu'il n'est pas un humain ! Et, avec Ji13, à croire qu'il adore le rôle du "méchant", c'est toujours ainsi ! Le vain triomphe de la réplique venimeuse pour agacer !
Amusant...Je ne pense pas Climax que tu viennes ici chercher une quelconque confrontation à des idées qui ne sont pas les tiennes, tu ne supportes pas la contradiction.
Vous me faites penser à cet incident dans la #nuitdebout de samedi, place de la République, lieu qui actuellement prétend reformuler la démocratie, où l'on parle de libertés, du poids grandissant du capital, de la place de l'homme dans le monde de demain, et qui pourtant malmène, insulte et éjecte A. Finkielkraut qui ne partage vraisemblablement pas leur ... conception sur certains sujets.
Pour résumer, l'échange, oui, mais à condition que vous pensiez la même chose...
Je pense que mes remarques qui se voulaient constructives concernant tes poèmes dans lesquels on retrouvait en boucle des détails sordides concernant le sехe ne passent pas, je ne fais qu'émettre un avis, disons que je trouve étrange, de retrouver dans chaque strophe les mots "poils, sрегmе, etc" et qui pour moi dénotent une certaine obsession.
Ce n'est pas se montrer fielleux que d'écrire ce qui me semble déplacé. Maintenant, il t'appartient d'en tenir compte ou pas.
La confrontation à des idées qui ne sont pas les miennes c'est justement ce que je viens chercher sur un forum qui reste un moyen de faire une pause entre deux séances de bashing sur un jeu vidéo. :)
Si vous pouviez en finir avec vos "dramas" concernant l'évolution ou la régression ressentie du forum, sujet moult fois traité... :)
--- Tu tombes bien, toi : tu n'émets pas des avis personnels ; tu émets des jugements qui sont dits comme s'ils avaient l'аvаl de la moralité partagée ; et, hop, je t'embrouille.
Tu regrettes le temps de la censure ; le temps de l'imposition des mœurs autorisées ; tu brandis, dans le style le plus impersonnel, et comminatoire, des jugements moraux, qui n'ont rien à faire avec la littérature.
Tu avances que ce que j'écris est choquant mais tu n'écris pas pourquoi - sinon que tant de mots directs seraient antipoétiques (tu en es resté à une conception pré-hugolienne du poétique et du non-poétique).
C'est l'injonction de le morale la plus répressive qui te sert de boussole !
Ton argument - d'autorité - est toujours relié à une morale publique que tu laisses entendre comme la seule possible et décente !
Et quand je t'évoque une autre tradition poétique (les poèmes grivois des Тгоubadours, en passant par la paillardise de Renart, et par les propos très crus des contes de Boccace ou de Marguerite de Navarre, sans oublier le Parnasse secret des écrivains du 17ème siècle, qui se plaisaient à écrire "c...", "f...", et "b..." en toutes lettres, jusqu'à Baudelaire ou un écrivain contemporain comme Pierre Bourgeade), pour te montrer que la morale a des facettes autres que la tienne, tu me demandes pourquoi je les évoques ?
Mais, parce que je récuse et ta moralité de cafard, et ta prétention à dire le bien, et ta prétention à représenter le tout de la moralité !
Et je récuse ta prétention à représenter le bon : tu ne représentes que la niaiserie et la pruderie des "femmes savantes" qui ne pouvaient prononcer certains mots parce que trop évocateurs d'une anatomie !
Tu n'as jamais célébré UN seul corps masculin, ici, pas UN !
Alors tu vas me permettre d'être pédé comme un phoque, ici, et de dire le TOUT de l'amour, corps et esprit, sécrétions et mouvements du cœur.
Oui, je suis ОВSÉDÉ du corps des hommes ; oui, je suis оЬséԁé de leur beauté et de leur singularité ; et je continuerai à trouver les mots adéquats pour appeler une ԛuеuе une tige mignonne !
Quant à Finkielkraut, nous le laisserons de côté ; je ne me sens pas de ce "vous" que tu désignes comme l'agresseur de ce piètre penseur ; je me fous de Finkielkraut, ce n'est pas le thème !
J'ai l'esprit unitaire ;
tu as l'esprit dualiste de ceux
qui croient et tiennent
à la bassesse du corps
des humains qui leur répugne !
Le corps est noble,
le corps a droit à des mots
non hypocrites, non contournés !
Notre être corporel est notre réalité
la plus commune, notre être immédiat ;
un amoureux, oui, aime
voir son аmапt Ьапԁег
et il aime le voir éjасulег,
et ce n'est pas là, en toutes lettres,
une physiologie sordide !Il ne s'agit pas d'être d'accord ou pas avec toi ;
je te ferai remarquer que c'est toi qui,
pendant des mois, a estampillé comme un censeur,
ô ex-institoris pas tant défuпt que cela,
mes textes avec des "approved "ou "rejected".
Et tu ne serais pas, dans l'âme, un censeur ???
Et tu oses venir me chatouiller, Draconis,
en me soutenant que je ne supporterais
pas ta critique : tu es gonflé, Draconis,
et sans aucune vergogne !
Tu n'as jamais fait l'effort d'une
seule critique littéraire minutieuse
et réfléchie et construite, parce que tu es
paresseux, et n'accordes de l'importance
qu'à tes jeux vidéos !
Tu condamnes ou tu approuves à toute volée :
c'est le "délassement" rapide de tes tensions !