Draconis (que je cite scrupuleusement) regrette de ne pas avoir eu, à l'égard de Rabelais, le pouvoir de censure - donc d'Inquisition, Rabelais étant tonsuré et de plus en délicatesse avec la Sorbonne. A part ça, il émet "des avis" : ouais, il brûle d'émettre des interdits exécutoires comme un inquisiteur des monarchies absolues !
Finalement, Climax, m'en veut à mort, car je déteste ... Rabelais, honte à moi, je devrais sûrement m'auto-flageller en gage de pénitence pour cette infamie...
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Comment voulez-vous discuter sereinement avec quelqu'un comme ça ?
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Oui, je suis ОВSÉDÉ du corps des hommes ; oui, je suis оЬséԁé de leur beauté et de leur singularité ; et je continuerai à trouver les mots adéquats pour appeler une ԛuеuе une tige mignonne !
Prends garde à ce que cette gentille obsession tant qu'elle se manifeste par l'écrit, ne devienne pas pathologique.
Je cite une de tes phrases au hasard
De suite la croisière des sрегmеs qui bouillonnent ;
Qu'est-ce que ce charabia ? Si ce n'est un besoin malsain de s'ехсіtег devant son clavier ? Tu es à la poésie ce que Picasso était à la peinture et ce n'est pas un compliment.
Enfin tu es libre de continuer sur ta lancée et moi de dire que je n'aime pas :)
Je ne nomme personne, et voilà, encore, un troisième, lui constamment assidu dans la malveillance, Ji13, qui vient verser son fiel !
Il était inutile de préciser mon pseudo, je te connais suffisamment ce qui englobe tes sous-entendus "explicites", n'insulte pas mon intelligence je te prie.
Je vais conclure en affirmant ici que, en effet, j'aurais refusé l'imprimatur à Rabelais si j'avais vécu à cette époque et si j'en avais eu le pouvoir, car je le déteste, Ab imo pectore :)