Moi, j'ai une autre solution : que l'on me harcèle, oh oui, encore !
Que l'on me touche, oh oui, encore !
Si l'on me brutalise, je pousse des cris de sirène plus fort que toute usine existante ! Et je crie : "Sale pédé, t'arrêtes de me toucher, espèce de violeur !"
Cela devrait tout de suite calmer !