Sujet pas très drole (page 2) - Le "Blabla" bar

J'y ai pensé, j'ai fait mes рlапs et j'ai pris panique avant de passer à l'acte.... Es-ce que j'y pense encore? A l'occasion mais dans ces moments, j'appel des amis à la rescousse et généralement ca fonctionne.

On croit que se suicider met fin aux souffrances, mais c'est faux, car la fin de la souffrance on ne la vit pas.
Et il faut être fou pour désirer l'anéantissement total définitif et éternel de sa personne. C'est mon point de vue.

Avec une mère qui a fait des tentatives a n'en plus finir, dont une devant moi, je considère cet acte comme lâche, et ргоfопԁément débile, vісіеuх, cruel, méchant et totalement égoïste.
sous prétexte d'appel au secours on traumatise toute une famille pour rien d'autre que du mal être personnel. je ne pleurerai pas quelqu'un qui se suicide. après tout, il a ce qu'il voulait. je ne pardonnerai pas à ma mère, je ne pardonnerai a personne.

G vois ke beaucoup ici apportes des valeurs de jugement sur l'acte en lui meme mais ils ne sont po dans la peau de celui ki veu se "suicider" - au dela des "degats colatéraux" pour la famille et les proche l'important c'est de connaitre la motivation ргоfопԁе du "suicidaire" - perso g fais deux TS à 13a 1/2 et 14a 1/2 jen connaissais les motifs tres clairement et 40a plus tard parfois g regrette de mettre raté - alors vos reflexions du genre " c'est un acte de lache" - "il a fait du mal a sa famille" etc... vous vous les garder ou g pense !!!! ainsi ke vos bonnes morales de merde ki vont avec!!vouloir mettre un terme a ses jours est une décision personnelle ki correspond ki resulte d'une mure reflexion (j'exclu les faux suicidaires ki veulent juste se "montrer" ou se "prouver" kils existent) - g геvепԁike le droit de ne po etre bien dans ce bas monde et de ne pas regretter davoir voulu le kiter - si g suis en "vie" (notion a definir) aujourdui c'est justement par lacheté avec moi meme...............

Je l'ai cotoyé de trop prés et j'en ai été trés marquée psychologiquement, je trouve que c'est un grand courage d'accecpter et de choisir de mourir mais une grande faiblesse de ne pas se battre pour s'en relever et y rester cloitrer

J'ai eu de gros problème avec l'alcool que je mélangeais avec des médoc pour "me soulager" de mon mal être... voilà un an que j'en suis sorti...mais il aura fallu plusieurs épisodes plutôt horribles pour me faire réagir... notamment un séjour à l'hôpital pour overdose... j'ai tenté d'en finir après un bad tripe et croyez moi quand vous vous réveillez, et que vous vous rendez compte de ce que vous avez tenté de faire, il faut un certain temps pour s'en remettre...
pour finir je dirai de quelqu'un qui est passé à l'acte, non pas que c'est un lâche, mais qu'est ce qui a bien pu lui arriver pour qu'il perde tout son espoir et qu'il décide d'en finir... il ne faut pas juger... il faut comprendre la personne

Avec une mère qui a fait des tentatives a n'en plus finir, dont une devant moi, je considère cet acte comme lâche, et ргоfопԁément débile, vісіеuх, cruel, méchant et totalement égoïste.
sous prétexte d'appel au secours on traumatise toute une famille pour rien d'autre que du mal être personnel. je ne pleurerai pas quelqu'un qui se suicide. après tout, il a ce qu'il voulait. je ne pardonnerai pas à ma mère, je ne pardonnerai a personne.

je continue à croire que personne n'est infaillible.... même si c'est incompréhensible pour ceux qui vivent avec des suicidants et ceux qui pleurent les suicidés....
Bizz

Je ne juge pas. j'en veux. si tu crois que sous pretexte qu'on est pas d'accord on y a pas pensé, la tu te plante. et permets moi de juger les miens. les autres, ne m'interessent pas plus que ça. je refuse, ce mal qu'on m'a fait, je refuse qu'on le fasse a mes enfants.

Le suicide... Cette étape si lâche mais tellement libératrice...
D'un coté y a la vie, aussi noire qu'elle puisse paraître... Et de l'autre il y a cette solution si facile et si rapide qui mène vers un sentiment de libération et de sérénité.
Mais on ne pense pas aux conséquences, en fait. On ne pense qu'à soit! Je suis même pas sûr qu'on puisse dire qu'on pense parce qu'on est comme dicté par une petite voix intérieure qui rabâche sans cesse que de toute façon on ne manquera à personne, que c'est la meilleure solution, qu'on est de loin des moins que rien... Alors au début, un lutte. On se dit que c'est pas possible, que c'est pas vrai. Et puis après on interprète tout ce qui se passe autour de nous et bien évidemment il n'y a pas de positif dans ce qui se passe... Donc on commence à ce dire que la petite voix à raison...
Et un jour, on craque... La phrase qui résonne dans la tête à raison de nous. Et, fait étonnant, à ce moment là on n'entend plus rien! C'est sourd, silencieux apaisant. On pourrait presque croire à un avant-goût du bien être qu'on atteindra une fois les cachets аvаlés.
Et cette petite voix... Cette traitresse... Elle disparait elle aussi! Elle te laisse seule avec tes boites de somnifères que tu es en train d'аvаlег comme si de rien n'était, comme si l'amertume de ces comprimés n'était finalement pas si désagréable.
Et c'est une fois que tout est prit, en attendant le sommeil éternel, que le pire commence... La voix revient te dit combien tu es toujours aussi pitoyable. Mais contre toute attente, tu vois tout ce que tu as mal interprété jusqu'à présent. Des images, des paroles... Alors l'espace d'une poignée de secondes, la voix se tait et là tu dois faire ton choix. Rester allonger là et attendre de faire souffrir toutes ses personnes qui te sont chères ou te lever, te faire vomir et appeler le samu...

Libre à chacun de faire ses choix, la souffrance qui pousse à la tentative de suicide ou au suicide est compréhensible et inexplicable... Mais elle ne justifie pas de faire souffrir les autres.