Tu as raison de redire que ton premier post ne parlait de la Tunisie que comme lieu magnifique pour des vacances. Je pense qu'on l'a presque tous compris mais... comme pour d'autres sujets, on dévie souvent du post initial pour soit rigoler soit pour aller, sérieusement, plus loin dans les discussions. Je pense que c'est bien. On a tous plus ou moins avec des préjugés...je ne vais pas te faire un dessin
Des posts, comme celui-là, permettra peut-être d'en "éliminer quelques uns. A nous de rester respectueux les uns envers les autres.
Ce que je comprends de ces articles Djerbino, (je n'ai pas eu le temps de regarder les liens posés par Mark) c'est que L'Afrique du sud reste toujours "la première puissance économique du continent" grâce à...(tout ce qu'énumère Mademoiz-elle) mais que la Tunisie est, depuis quelques années, le pays africain le plus compétitif dans "une douzaine de secteurs" comme le spécifie les résultats de l'enquête... (institutions, infrastructures, stabilité macro-économique, éducation, santé, taille du marché, innovation ...etc) et probablement dans le tourisme aussi.
Donc, Djerbino et Mademoiz-elle, c'est "match nul", vous avez raison l'un et l'autre.
Pour répondre à Moquette quand elle dit: "...
j'aime rajouter c est pas encore les niveaux (LGBT) qui me géne mais le respect et les droits des femmes(et oui nous ne sommes pas minoritaire!)que subissent ses femmes au quotidien..."
Je peux comprendre ta position en tant que femme Moquette. Beaucoup de femmes dans le monde "s'ingurgent" contre ce que tu constates. Mais là, c'est une question de culture (pense aux femmes d'ici, avant (et même encore aujourd'hui dans certains domaines)...et tu n'as pas besoin d'aller très loin en arrière
) ... Question de culture donc mais aussi, dans beaucoup de cas, c'est dû à une pratique religieuse "extrémiste" dans les pays les plus rigoristes. Ce sont ces femmes issues de ces milieux que l'on remarque le plus
En Afrique et autres pays "musulmans" ou "islamistes", tu verras aussi des femmes épanouies, revendicatrices (au risque de leur vie souvent) mais qui se sentent quand même libres malgré les pressions sociales et familiales. Evidemment, dans ces pays, il y a plus de "travail", qu'ici, à faire....mais, pour que la femme soit vraiment l'égal de l'homme, c'est un travail qui concerne les femmes et les hommes du monde entier.