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Toujours sourire (page 2) - Musique & cinéma

Sujet de discussion : Toujours sourire
  • simon_paris Membre élite
    simon_paris
    • 15 mai 2020 à 13:15
    En réponse au message de jiminy :

    Bonjour SimoN,


    Tu connais certainement cette citation que j'apprécie tant :


    Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup

    Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent

    Il ne dure qu'un instant mais son souvenir est parfois éternel

    Personne n'est assez riche pour pouvoir s'en passer

    Personne n'est trop pauvre pour ne pas le donner...


    Raoul Follereau


    Merci de ta visite et de ton message.


    Coucou Jiminy )) ouii je connais et ma mère m'a toujours dit que j'étais un faiseur de sourire pas que je me forçait loin de là mais quand j'entre dans une pièce les gens ont le smile car je souris toujours. Ne dit-on pas qu'il faut sourire même quand c'est grave ?


    Re merciiii à toi pour ces émotions...


    SimoN

    kiss.png

  • yannboy95 Membre suprême
    yannboy95
    • 15 mai 2020 à 19:55
    En réponse au message de simon_paris :

    Coucou Jiminy )) ouii je connais et ma mère m'a toujours dit que j'étais un faiseur de sourire pas que je me forçait loin de là mais quand j'entre dans une pièce les gens ont le smile car je souris toujours. Ne dit-on pas qu'il faut sourire même quand c'est grave ?


    Re merciiii à toi pour ces émotions...


    SimoN

    kiss.png


    Mais c'est tout mimi ça

  • theophraste Membre occasionnel
    theophraste
    • 15 mai 2020 à 20:45

    Merci pour ce commentaire. Si j'ai tant vu "Le Pays" dans mon enfance et ma jeunesse, c'est que Nantes fut la dernière ville de France à conserver sa troupe intégrale d'opérette jusqu'en 1967 ! D'où 25 opérettes par saison (7 mois à l'époque) jouées de 3 à 20 fois (les opérettes à "grand spectacle"") et une vingtaine d'opéras joués 1 à 2 fois chacun. Un rythme infernal et inimaginable aujourd'hui.

    Bonne soirée et bon week-end.

    Bien à toi.

    Jacques

  • jiminy Membre émérite
    jiminy
    • 16 mai 2020 à 05:42
    En réponse au message de theophraste :

    Merci pour ce commentaire. Si j'ai tant vu "Le Pays" dans mon enfance et ma jeunesse, c'est que Nantes fut la dernière ville de France à conserver sa troupe intégrale d'opérette jusqu'en 1967 ! D'où 25 opérettes par saison (7 mois à l'époque) jouées de 3 à 20 fois (les opérettes à "grand spectacle"") et une vingtaine d'opéras joués 1 à 2 fois chacun. Un rythme infernal et inimaginable aujourd'hui.

    Bonne soirée et bon week-end.

    Bien à toi.

    Jacques


    Salut,


    Je me souviens avoir vu adolescent au Théâtre, du Châtelet, à grand spectacle, avec chevaux sur scène," l'Auberge du Cheval blanc" dont j'ai longtemps garder un souvenir incroyable !

  • theophraste Membre occasionnel
    theophraste
    • 16 mai 2020 à 14:49

    L'un des tubes de cette lointaine époque avec "Rose-Marie" et les nouveautés alors portées par Mariano, Guétary, Dassary, Merkès et Merval. Et figuraient chaque année à l'affiche les classiques français (Les Cloches de Corneville, Les Mousquetaires au couvent, Véronique, Ciboulette, Rip, La Mascotte, La Fille de Madame Angot, Les Saltimbanques, les principaux Offenbach, etc...) , viennois (La Veuve Joyeuse, Paganini, Rêve de Valse, Valses de Vienne, Princesse Czardas, etc...) et des oeuvres plus rares. De même, "Carmen", "Faust", "Manon", "La Bohême", "La Tosca" étaient représentés chaque saison entre de rares Mozart, Wagner et moins de créations encore jusqu'au début des années soixante-dix où, à Nantes comme ailleurs, de nouveaux modes de gestion bousculèrent les vieilles habitudes et, particulièrement, des abonnés souvent très traditionalistes.

  • jiminy Membre émérite
    jiminy
    • 16 mai 2020 à 17:27
    En réponse au message de theophraste :

    L'un des tubes de cette lointaine époque avec "Rose-Marie" et les nouveautés alors portées par Mariano, Guétary, Dassary, Merkès et Merval. Et figuraient chaque année à l'affiche les classiques français (Les Cloches de Corneville, Les Mousquetaires au couvent, Véronique, Ciboulette, Rip, La Mascotte, La Fille de Madame Angot, Les Saltimbanques, les principaux Offenbach, etc...) , viennois (La Veuve Joyeuse, Paganini, Rêve de Valse, Valses de Vienne, Princesse Czardas, etc...) et des oeuvres plus rares. De même, "Carmen", "Faust", "Manon", "La Bohême", "La Tosca" étaient représentés chaque saison entre de rares Mozart, Wagner et moins de créations encore jusqu'au début des années soixante-dix où, à Nantes comme ailleurs, de nouveaux modes de gestion bousculèrent les vieilles habitudes et, particulièrement, des abonnés souvent très traditionalistes.


    Tout évolue et c'est aussi un bien contre la stagnation.

    Allez, garde le souriregrinning.png. et vivons avec notre époque.

  • theophraste Membre occasionnel
    theophraste
    • 16 mai 2020 à 18:29

    Parfaitement d'accord. Et je me réjouis que le théâtre lyrique ait subi une ргоfопԁе mutation depuis l'époque dont nous parlions, et ce à tous égards: modes de production et de présentation, répertoire, qualité des chanteurs, des orchestres et de leurs chefs. Enfin le théâtre lyrique est devenu du théâtre à part entière, couvrant toutes les époques, tous les répertoires, et servi en général par des interprètes beaucoup mieux préparés qu'autrefois. Pour avoir bien connu l'Opéra et l'Opéra-Comique à la fin des années soixante à Paris, je ne regrette nullement leurs représentations trop souvent routinières et aléatoires à cette époque. Nous y avons quasiment perdu l'opérette, mais nous y avons tant gagné en contrepartie !

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