--- En cette extrême fin de semaine, à l'approche de mes cinquante ans, comme j'ai beaucoup expérimenté le "sехe" & n'y ai trouvé que de rares et fugitifs рlаіsігs, des ехсіtаtіопs, des spasmes, et puis rien, sinon en général la crainte d'avoir attrapé le SIDA et une obsession carabinée pendant trois mois (avec analyse de sang à la clef), et une mauvaise estime de moi-même, j'essaie de me poser, je mets une annonce ici, on me dit qu'elle est "rare", d'autres "C'est tous ce que nous désirons... que dire de plus... bien tourné... mais pourquoi pas de photos... (...)", d'autres encore vers les 23h "Tu veux un рlап cam ?"
Il se présente enfin un que je dois rencontrer ce week-end & qui vient à Lyon en train & le reprend ,sans que je l'ai entraperçu, parce que sa mère ayant eu un accident de la route l'oblige à rentrer de toute urgence, une demi-heure avant notre rencontre & il m'oublie "dans la panique" & il me fait poireauter & il retrouve un réseau téléphonique stable alors que j'attends depuis 45 minutes & je suis dans le brouillard...
Je ressens une grande lassitude et une grande tristesse, n'ai aucune espèce de conseils à administrer, sinon de dire que la patience est souveraine, ce qui est d'une platitude sidérante.
"Trouver l'homme qu'il nous faut" est peu gratifiant, ardu, fatigant, fatigant, fatigant... Mais nous ne pouvons pas faire autrement