Le problème, c'est que dans bien des pays, pour que les frais reliés au soutien psy et aux interventions médicales que recherchent certains tгапs soient pris en charge, en partie ou en totalité (je rêve d'un monde d'utopie bercé par l'empathie), par la société et/ou les assureurs privés, il faut que la tгапsехualité, ou même le "gender dysphoria" soient considérés comme une maladie par le corps médical. Car, si point de pathologie, point d'intervention médicale requise, en principe. Alors, c'est une bonne nouvelle, certes, mais qu'est-ce que cela signifie, exactement pour les gens qui souhaitent avoir recours aux soins du bon docteur? Cela signifie aussi qu'il se peut qu'en cours de médecine, faire allusion à la tгапsехualité ne soit jugé comme particulièrement pertinent. Quand j'écoutais Gender Talk, c'était un grand débat qui s'y posait régulièrement: comment réconcilier la revendication de certains pour que la tгапsехualité ne soit pas vue comme une pathologie avec le fait que certains tгапs expriment le besoin d'être reconnus comme ayant besoin de l'aide médicale?
Donc, une question assez délicate reste à être posée, question à laquelle seule la communauté tгапs peut répondre...
C'est une question en effet délicate, qui inquiète en effet.
Je vous mets un lien ! Attention, le titre peut choquer.
http://www.fabulous-gonzesses.com/forum/viewtopic.php?t=3590Maintenant, espérons que les textes soient cohérents.
Par contre, il semblerait qu'au niveau international, ce n'est pas en voie d'amélioration avec le passage du DSM IV au DSM V, comme il en est fait mention dans la page.
Christelle