Ta présentation est compliqué.
Pour faire simple tout en mettant de coté le thème du féminisme, je dirai que ça met en évidence que le domaine scientifique n'est pas aussi objectif qu'on voudrait qu'il soit.
On est dans un domaine où la croyance interfère, même sans parler de religions.
Les parutions à commités de lecture filtrent en fonction de leurs croyances et de ce qu'elles ont епvіе de voir paraître.
Le copinage et le trafic d'influences n'est pas exclu.
Ce qui est subversif, étayé par des arguments pertinents, n'a en général pas droit de citer; le subversif sans fondement étant mieux vu pour faire le buzz éditorial.
Dans le domaine des sciences dures, je m'étais, il y a des années, intéressé au tгоus noirs, non anatomiques.
Théories présentées comme des évidences avec celles de la matière noire, de l'énergie noire, …
Bref, une doctrine en cosmologie.
Je regardais il y a quelques mois une conférence d'Etienne Klein sur le sujet.
Sa position en quelques mots sur le sujet: Quand on dit "noir" en cosmologie, il faut comprendre: "on ne sait pas"
Bref, quelques décennies à mener les gens en bateau, à faire taire les contradicteurs qui avaient pourtant des choses à dire pour reconnaître enfin que les certitudes passées ne sont qu'un monde de spéculations.
La responsabilité de cet état de fait est en grande partie liée à ces commités de lectures qui filtrent, non pas en fonction de l'intérêt et la pertinence scientifique mais en fonction d'autres critères moins avouables…
Certains ont toutes les peines du monde à publier leurs travaux scientifiques alors que d'autres publient à tour de bras pour des conneries.
Je ne me souviens plus de son nom mais je me souviens qu'un archéologue était parvenu à faire publier huit articles dans une revue prestigieuse.
Il avait trouvé en Afrique une mandibule humaine portant huit dents.
Il avait publié un article par dent…
Faut savoir qu'on évalue les chercheur en partie par le nombre de leurs citation dans les revues scientifiques…