C'est peut-être injuste de ne pas porter un peu de crédit à ce que raconte ce type.
Il peut raconter des salade mais aussi relater quelque chose qui lui est réellement arrivé…
Je prends cela comme le témoignage d'une réaction individuelle dans le cadre de sa sехualité personnelle et liée à la prise d'une moléсule que l'on sait active sur le psychisme humain.
Par exemple, des cas de suicide sont documentés en relation avec la prise de ce médoc.
Si, en ce qui le concerne, cela a provoqué une levée d'inibition qui a rendu possible des relations homo, je ne vois pas en quoi cela devrait-il me déranger ou pourquoi cela changerait la face du monde des motivations à l'hоmоsехualité.
Je connais des filles et des mecs pour qui la simple consomation d'alcool provoque le même truc.
Ils ou elle sautent alors volontiers sur ce qu'ils ou elles ont déjà dans la culotte et, une fois revenus dans leur état normal, sont parfaitement hétéros.
Bref, rien de nouveau sous le soleil: Les sentiments, les pulsions, l'attirance, c'est un truc électrochimique dans le cerveau et quantités d'éléments extérieurs peuvent influencer cela.
Un exemples Messieurs: Éjасulег a tendance à vous donner faim, vous recrocviller sur vous-même et vous faire dormir.
Je ne vous le reproche même pas car c'est de la chimie hormonale.
Je constate; c'est tout.-))
Quand à nous, les filles, notre grand huit hormonal lié aux cycles menstruels, si on savait combien de mecs cela a rendu gay…