Autant, je peux me représenter le cœur serré comme le bourgeon de l'oignon enserré dans son dédale d'écailles charnues ; autant j'éprouve quelques difficultés à saisir l'étonnement d'un potiron...
Peut-être l'imagines-tu coi de la bougie qu'on lui insère dans le ciboulot, la Toussaint approchant... Mais n'honores-tu pas ledit cucurbitacée pour la facilité de la rime, commode - il est vrai - dans ta filature potagère de la comparaison ?
Tu me fais (re)penser au groupe Zebda qui - se piquant de politique toulousaine - fredonnait, en son temps : "
Allez Oust Douste / Ma parole, tu nous as pris pour des langoustes".