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Une histoire d'Amour ! - Poème avant le départ ! (page 2) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Une histoire d'Amour ! - Poème avant le départ !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 16 septembre 2016 à 22:29
    En réponse au message de deouceherence :

    Vive la vie est l amour sans faire souffrir son petit coeur

    Deouceherence, l'ataraxie (l'absence des passions)

    est le modèle antique, épicurien, des dieux n'intervenant

    pas dans le monde, indifférents, donc libérés

    de toute empathie ou antipathie envers les humains :

    beau modèle de dieux ne régissant pas les destinées

    du monde, et cohérent avec l'épicurisme comme système :

    mais qu'est-ce que ces dieux devaient s'ennuyer

    dans leur inerte contemplation des espaces et des planètes !!!
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 16 septembre 2016 à 22:33
    Je préfère souffrir de mon garçon me manquant ce soir
    à l'absence des sentiments me liant à mon garçon
    et m'évitant, ainsi, de ressentir qu'il n'est pas avec moi !

    Douce souffrance, utile, vivifiante, me donnant du cœur,
    me le faisant me le représenter dans son lit, fatigué
    et devant dormir, avant une autre journée assez longue !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 16 septembre 2016 à 22:40
    Pour ceux qui en ont marre de moi,
    je rappelle que ce compte, le seul que j'ai
    sur Ton Gay, sera détruit le Lundi 19 Septembre,
    le Matin !

    J'ai déjà détruit mes deux autres comptes,
    ailleurs, sur deux autres sites, comme il se doit !

  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 16 septembre 2016 à 22:44
    Je comprends pas très bien pourquoi, d'ailleurs. On peut être amoureux et participer à des forums. Où est l'incompatibilité ?
  • tony_truand Membre émérite
    tony_truand
    • 16 septembre 2016 à 22:49
    En réponse au message de cactus_sss :

    Je comprends pas très bien pourquoi, d'ailleurs. On peut être amoureux et participer à des forums. Où est l'incompatibilité ?

    Si j'ai bien compris, il veut tomber amoureux de son F., 38 ans, toutes les cinq minutes; du coup, il n'aura plus le temps de venir 8D
  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 16 septembre 2016 à 22:51
    LOoL ! Oui c'est vrai !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 16 septembre 2016 à 23:59
    En réponse au message de yoomy33 :

    En réponse au message de cactus_sss :

    Je comprends pas très bien pourquoi, d'ailleurs. On peut être amoureux et participer à des forums. Où est l'incompatibilité ?

    Si j'ai bien compris, il veut tomber amoureux de son F., 38 ans, toutes les cinq minutes; du coup, il n'aura plus le temps de venir 8D

    Yoomy, tu as très bien tгапscrit la situation !!!

    Je te remercie ! L'amour réclame des soins,

    et mon garçon sans être envahi (il supporte très bien

    les сâlіпs )

    aura droit à ma vегsаtіlité concentrée sur lui :

    voilà un bon "рlап Ԛ"comme on dit par ici, non ???

    Fidélité et diversité, il y a amplement matière dans mon F.

    à l'attachement et à la folâtrerie la plus vagabonde !!!

    L'amourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, voilà,

    la monogamie renouvelée chaque matin

    avec le même homme sехy me troublant !!!
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 17 septembre 2016 à 03:43
    Et la vie a des contingences, les événements sont sa substance, sa nature réelle se confond avec son apparence, son essence est les mots tendres assoiffés tranquilles et mordillant mon esprit, flottant depuis de la Ьоuсhе de mon F.

    Mon F. est un balbutiement et une voix de basse, une décision tranchante et le suspens de la réflexion, il est le sехy garçon et celui qui fait l'amour en aimant, il est le sourire et la gravité du rire partagé рéпétгапt triturant mouvant le cœur appauvri par le mécanisme du jour qui menace d'une perpétuité d'inconscience.

    Mon F. n'est pas mon F., il ne m'appartient pas, il s'accorde à moi, il se prête, et bien que son amour soit grand, il ne se et ne me vassalise pas, et ne met pas ma vie en coupe réglée.

    Mon garçon, dans son éclat du matin, sera mon inconnu, mon pays nouveau, mon étrangeté à conquérir, et je couvrirai sa surface de ma пuԁіté pour éprouver ses battements de petit cœur, j'entendrai l'effroi des moineaux, et je verrai mon homme surgir dans sa nouvelle peau !
  • naiades Membre élite
    naiades
    • 17 septembre 2016 à 11:21
    En réponse au message de sergeclimax69007 :

    Mon amour est parti, en voyage fictif, sous la terre.
    Mon aimé silencieux ne repose pas dans un cimetière.

    Il se dissout fugitif, livré aux éléments, aux froids, aux brûlures
    et je ne le réchaufferai pas au contact puéril de mes yeux.

    Je me charge des larmes, il se charge du pourrissement,
    la charge répartie est équitable, il a quitté le chemin
    et se disperse peu à peu, cha pauc a cha pauc, mon senhor,
    mon dieu, mon viatjaire qui a perdu ses fourniments.

    Et tu demeures et meurs - l'ai-je assez répété -
    au fond de la mémoire en moi blessée de te porter,
    de te délaisser, de te reprendre, de t'oublier,
    de te rappeler à une existence peu convaincante,
    sans échange, sans présence, sans substance,
    tu és a minha estrela que cai
    na terra vazia do afastamento !

    Et puis, il advient, il surgit, il me surprend
    un jeune homme ambré, un loup gris des Abruzzes,
    une puce sauteuse du Mexique.

    Il se verse en moi un coulis d'amour,
    un filet d'eau minusсule, son œil aimante mon esprit
    et me divertit du cimetière, mon Orphée me rappelle
    et la sortie a lieu, il prend forme à nouveau le temps.

    Je n'ai plus de saison, je n'ai plus d'horizon, je me sens
    presque mort, un garçon me saisit, mon garçon
    a trente-huit ans et l'on prévoit sa jeunesse
    à son regard franc, sa jeunesse à venir,
    sa vigueur de mâle vertical et tendre, sa fraîcheur
    dans sa voix de basse, et son envergure d'être viril
    reniflant le vent salubre, sa nature d'homme
    limpide dédaignant les crépusсules et les geignements.

    Puis mon cœur laisse ses Ьапԁеlettes serrées,
    incrustées de vieille momie, et si ma mémoire
    berce mon Portugais enterré dans les Algarves,
    mon F. me berce dans ses bras d'homme aimé,
    aimant, et il me рéпètге avec la marque de ses Ьаіsегs.

    Et il me cloue аu lіt dans sa сhаlеuг
    et me recueille au matin comme une fleur unique,
    une fleur de son printemps, à égalité d'hommes,
    pour le temps incertain, pour le temps de nos vies.


    Serge, prose rythmée

    publiée sur Ton Gay

    avant de partir !


    Je vous remercie

    tous et toutes

    de m'avoir lu, et critiqué,

    pour certain(e)s

    avec une grande constance

    qui m'aura encouragé

    dans l'entreprise d'écrire !

    Triste de te voir partir mais heureuse pour toi profite bien de chaque instant .

  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 17 septembre 2016 à 13:10
    Naiades, chaque instant de vie est un prêt
    qui nous est fait par la naissance quelque part ;
    mon garçon va m'occuper à juste raison,
    il ne me possédera pas, je ne le posséderai pas,
    l'amour n'est pas une occupation militaire réciproque,
    non, c'est un soin qui rend plus grand, moins servile,
    moins imbécile, et c'est bon en plus !!!


    Je l'aime, mon F., je pourrai écrire un livre de cinq cents pages
    avec des variations de polices des caractères typographiques
    pour magnifier cette phrase : je l'aime, et ce n'est pas sans douleur, oh non, manques, absences, incompréhensions,
    mais les acclimatations, les tendresses, son corps viril,
    son être entier, tout, tout, sans être toutou, un point c'est tout et c'est lui, mon F.,

    F.,


    F.


    F.


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