En réponse au message de stiky :
Bonsoir,
Une éternité que je n'ai pas publié un sujet sur le forum. Je remédie à cela ce soir, avec un petit quelque chose que je viens de retrouver dans mes dossiers. Un début d'histoire que j'avais écrit. Je ne sais plus trop quel est le fil conducteur, le lien central, mais, c'était un thriller psychologique que je souhaitais faire.
Bref, je vous laisse découvrir ce petit début qui n'aura sûrement jamais de suite...
Belle lecture
A l'orée d'une forêt, le calme ambiant se brisait par des bruits de pas. Je ne sais pas d'où proviennent ces sons, ma vue est obstruée, mes sens endormis. Pourtant, j'ai cette impression de voix familières. Le vent emporte quelques feuilles autour de moi, je suis incapable de faire le moindre geste. Les bruits se rapprochent petit à petit. Ils cherchent quelque chose. Le soleil perce le feuillage des arbres laissant les rayons illuminer les herbes et objets perdus dont le scintillement laisse présager que c'est sûrement l'indice qui permettra d'en finir avec cette attente monstrueuse.
Ils brassent les fourrées, guettent le moindre détail dénotant des environs, ils touchent presque au but. Si j'avais su que nous en arriverions là, mes choix auraient été différents. Je n'ai jamais pensé que ça pourrait m'arriver, être là alors que tout se passait bien jusqu'à ce que je découvris la vérité. Il aurait fallu que j'accepte, ce se serait peut-être passé autrement. Le temps a fait ce qu'il devait réaliser, immuablement. Je me sentais libéré, car oui... je suis passé par de nombreux états émotifs avant d'être allongé ici où le calme règne. J'ai réussi à m'en sortir. Plus jamais je ne vivrai un tel cauchemar.
Les bruits sont juste à côté. L'attente se termine. Un regard se pose sur moi, je sens une main me frôler. Si je le pouvais, je sourirais. Un cri résonne plus fort que tous les autres. Ils sont désormais une dizaine, voire plus. Ils m'observent, sans rien dire. Seuls leurs visages expriment la situation. Aucun sourire n'apparaît, leurs yeux sont gonflés. Ils me voient, là, allongé. Un corps inanimé, presque méconnaissable. Écorché, à moitié ԁéпuԁé, les blessures infectées. Моп согрs rigide et froid ne laissa aucun doute sur mon état.
Voici mon histoire...
dommage !!!! tu es doué pour la plume ....énigmatique ...sans lire les autres commentaires ...remets toi à l'écriture ...franchement dommage pour cette ébauche inachevée....