Merci et de rien.
J'attends la suite, cela me semble très condensé,et merci pour le suspense
Au рlаіsіг de retrouver une page par jour.
A nouveau, de rien.
Oui, ça dépend des cas, mais j'ai autant de textes condensés que de textes interminables (sourire). Et celui-ci est vraiment le premier texte que je tape. Les autres, je les fais en manuscrits. Alors, j'ai encore un peu de mal à trouver mes repères. Mais avec le temps, ça viendra (sauf sans doute à mettre ma page sur l'ordi en page d'un livre moyen. Je n'ai pas encore appris à le faire. Ce qui peut sans doute aider). Et je trouve finalement que ça en fait une petite histoire rapide à lire... Un peu comme les nouvelles. Même si je ne dis pas que c'en est une. Il faudra voir la fin pour ça (sourire). Sinon pour les incohérences, s'il y en a. Je les assume.
Chapitre suivant ci-dessous. Bonne lecture !
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Chapitre.2 : Encore plus de questions.
"Jessy".
Une voix. Dans ma tête ?
"Jessy".
Non elle est extérieure. On m'appelle du bas de la maison. La maison a en effet plusieurs étages. Même trois. C'était une lubie de mon père. Il avait toujours rêvé d'une maison. Mais il trouvait trop communes les maisons à deux étages. Il en voulait trois. Eh bien sûr ! Il y a aussi un grenier. Il ne fait jamais les choses à moitié.
Quant il avait vingt ans, il voulait faire un saut en parachute, mais bien sûr il ne fallait pas qu'il fasse comme tout le monde. Il a trouvé le moyen d'embarquer toute la famille - bien sûr les personnes qui n'avaient pas peur - dans ce saut. Et vu que la famille se compose de cinq cent personnes... Oui il avait même commençait par faire des recherches généalogiques. Il a commencé à l'âge de douze ans. C'était une passion. Et c'est devenue une obsession. Il a créé l'exploît d'y emmener quatre-vingt pourcent des personnes.
- J'arrive, papa. Je viens de me réveiller.
Si on peut dire. Je ne comprends pas pourquoi je suis désorientée. Non il n'y a quelque chose de vraiment pas normal. Je me rends à la salle de bain avant de descendre. Le choc ! Ce visage ! Non ce n'est pas le mien ! Pourtant il me semble familier ! Comment cela est-ce possible que j'habite un corps familier et que je semble rejeter ? Pourtant... je me tate, oui c'est bien moi que je vois. Je me pince puis me jette de l'eau froide sur le visage. Oui c'est bien moi. En tout, maintenant je suis réveillé. Je me prépare. Et je descends.
-Ah, Jessy, te voilà ! Tu as bien dormi ?
-Oui ça peut aller. J'ai fait quelques drôles de rêves.
-Tu veux en parler ?
-Non pas maintenant. Pourquoi tu m'as appelé ?
-Avec ta mère, nous allons en ville. As-tu besoin de quelque chose ?
-Non, rien qui me vienne à l'idée. Merci d'y avoir pensé.
-Que vas-tu faire de la journée ?
-Je pense que je vais aller faire un tour au large.
-Sois prudent ! dis ma mère qui vient d'arriver derrière moi.
-Ne t'en fais pas ! Tu sais que je le suis toujours. Je reviens toujours au premier nuage menaçant.
Tous ces mots sortent de la Ьоuсhе. Donc je fais bien partie de cette famille. Ils me connaissant. Je les connais. Je suis bien chez moi. Mais pourquoi cette sensation que je ne suis pas à ma place ? Non il y a vraiment quelque chose que je dois trouver. Peut-être cette navigation au loin me fera du bien.
-Jessy, n'oublie pas demain...
-Demain ?
-Oui, tu as rendez-vous avec le commissaire Ernest.
-Ah oui, c'est vrai.
Pourquoi voulait-il me voir ? Je n'arrive plus bien à me souvenir. J'ai vraiment dû passer une mauvaise nuit pour être dans cet état. Ou alors j'ai dû me saoûler grave ! Non ça me revient.
Le commissaire, je le connais depuis toujours si on peu dire. Je l'ai rencontré pour la première fois, j'avais six ans. J'étais à l'extérieur dans un parc urbain et ce qui devait arriver la balle finit sa route sur la route. Je voulus me précipiter chercher la balle, mais je n'avais pas vu un vélo arriver droit sur moi. Le commissaire m'arracha vite à la route tout en donnant un coup de pied dans la balle qui finit bien sa route dans le caniveau. Il me gronda sur le coup. Mais finalement, après cette double frayeur d'avoir failli me faire renverser et devant ce personnsage imposant au regard colérique sur le coup, il m'emmena près du marchand de glace. Et je fus réconforté. Il discuta ensuite avec mes parents. Et depuis ils sont les meilleurs amis.
Que de souvenirs ! Mais pourquoi maintenant !
Mes parents partirent pour la ville et moi pour le large...