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Vintage séduction - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Vintage séduction
  • alextremblay Membre expérimenté
    alextremblay
    • 17 octobre 2019 à 03:40
    Moi pas besoin de vous dire que j’utilise mоп согрs comme force de séduction, mon sourire, mon regard et mon air timide aide aussi, même si ce dernier est mon handicape en même temps, je ne sais pas pourquoi mais beaucoup aime un garçon réservé et gêné, ma manière sехy de m’habiller attire aussi, bien serré et moulé, mоп согрs démontre toute ses formes pour la joie des vоуеuгs attentifs, mes fеssеs sont toujours bien en évidence parce que moi-même ce qui m’attire le plus chez un garçon, c’est justement ses fеssеs et je considère que les miennes sont de qualité donc j’exploite celle-ci

    Certains diront oui mais tu n’as que 19 ans, beau et sans ехрéгіепсе, c’est sûr que tu es adorable nous nous avons……………………revenez dans votre esprit à 19 ans, vous aussi vous étiez beau et attirant, alors à cette époque, quels étaient vos points forts de séduction????????????????????

    S.V.P laissé la beauté intérieure pour ce topic, à 19 ans c’est la deuxième ou la dernière chose que l’on regarde.

    N’oublier pas de commenter avec votre esprit de 19 ans, pas facile pour vous expérimenter, mais pour les nostalgiques plutôt faciles
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 17 octobre 2019 à 08:24
    Enfin quelqu'un de censé et pas neuneu (en assurant que la beauté intérieur est la 1ère chose vue), bien qu' un peu prétentieux notre Alex

    Bah, tant mieux que tu te trouves beau, ça te donne plus d'assurance et aide a contrôler ta timidité (qui ne se voit pas DU TOUT ici

    Pour ma part, à 19 ans, c'était mon look générale et il est vrai qu'a l'époque des pat'déf les fessiers étaient mis en valeur, mais je montrais aussi facilement ma chemise ouverte sur mon torse, au grand dam des anciens et des jaloux

    Malheureusement ca ne marchait pas si bien que ça , faut dire qu'il y avait pas mal de gars bien foutu, Mac Do n'avait pas encore fait des ravages
    Avec son clown JOKER en tueur en série de physiques

    Bonne journée, la mienne va être très chargée
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 17 octobre 2019 à 08:45
    Je m'habille un peu comme toi, souvent des vêtements qui collent, en tout cas pour le bas, le haut... je trouve rarement tellement je suis fin Par contre, je n'attire pas avec mes fеssеs... j'en ai pas ! Ce doit être mon côté réservé qui attire, voire même distant
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 17 octobre 2019 à 08:54
    En réponse au message de stiky :

    Je m'habille un peu comme toi, souvent des vêtements qui collent, en tout cas pour le bas, le haut... je trouve rarement tellement je suis fin Par contre, je n'attire pas avec mes fеssеs... j'en ai pas ! Ce doit être mon côté réservé qui attire, voire même distant

    Je ne peux m'empêcher de t'aider, c'est mon côté St Bernard

    J'ai LA solution pour habiller ton haut de corps afin de l'ajuster à ta séduction
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 17 octobre 2019 à 08:57
    Ah ah ah
    Si seulement !
    De toute, je compte apргоfопԁir mon style vestimentaire, je dois juste acheter ce qu'il me faut
  • sim.s-heart Dieu tout puissant
    sim.s-heart
    • 17 octobre 2019 à 09:17
    Bonjour Alex

    Sans m'vanter, j'ai l'impression d'avoir toujours plu et encore maintenant. Pourtant sans style vestimentaire particulier (on me dit souvent qu'un rien m'habille), mais je reste vrai et égal à moi même, en toutes circonstances.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 17 octobre 2019 à 10:10
    À 19 ans, j'étais рuсеаu et trompais ma main droite avec ma main gauche…

    Profil timide, introverti quoique aimant le contact humain.
    Je ne cherchais absolument pas à plaire et jugeait que mon physique ne présentait pas d'avantage particulier.
    C'était d'ailleurs inexact et les filles me trouvaient pas mal malgré mon format grand nain.

    Mais je m'inscris en faux au sujet de ta vision du physique en premier comme outil d'attirance que devrait avoir tout mec de 19 ans.
    À 15 ans, j'avais déjà des idées comme avoir une femme et des enfants et constituer une famille.
    Par exemple, à Noël, je me demandais quand cela serait-il mon tour d'être autour d'une table avec femme et enfants.

    Une vision de catho traditionaliste alors que j'étais athée et m'opposais volontiers à toute forme d'autorité…

    Coucher pour coucher n'avait donc pas de sens pour moi et c'était trouver une femme dont je sois amoureux et qui serait la femme de ma vie et la mère de mes enfants qui avait du sens pour moi, même à 19 ans.
    Je n'avais pas de préjugé moral au sujet du sехe pour le sехe.
    C'est juste que ce n'était pas un ressort suffisant pour moi; il fallait quelque chose d'іпtіmе et fort, affectivement, pour que je saute le pas.

    Bref, je suis resté un Ьгапlеuг jusqu'à 24 ans, le temps de trouver une fille dont je sois amoureux et avec qui j'ai епvіе de coucher et de faire ma vie.

    Une patience récompensée puisque qu'elle est toujours à mes coté plus de trois décennie après et qu'elle m'a donné trois mecs sympas qui sont les plus belles réussites de ma vie.

    Ne pas croire cependant que je brosse un conte de fée:
    J'ai souffert quelque part d'être dans l'attente d'une fille qui me fasse vibrer, je n'ai pas trouvé cool d'être amoureux de filles que je n'intéressais pas ni de dire non à des filles qui me tournaient autour et pour lesquelles je n'accrochais pas.

    Mais j'avais vraiment cette conviction dans mon fort intérieur que mon ԁéрuсеlаgе devait aller de pair avec ce sentiment d'être avec une fille avec qui je voudrais faire ma vie.
    Cela fait très "vieille France" mais je ne regrette pas le voyage.

    Je crois que mon lien affectif incassable avec ma femme, malgré les difficultés de la vie, vient de là.
    On oublie pas sa première relation et le trip qu'on prend alors, on essaie de le retrouver toute sa vie, avec la même ou d'autres… mais avec d'autre, ce n'est pas la même…

    Cette conjonction d'affect et de libido première est, à mon sens, un ciment qui ne peut céder que sous les coups du marteau piqueur d'une volonté de destruction envers l'autre.

    Hors, dans la plupart des couples qui se séparent, on en est pas là mais c'est simplement une routine et de l'indifférence qui sappent la relation.
    On en vient alors dans une collaboration qui se transforme en rapport de force et la recherche de son confort perso devient envisageable au détriment de l'autre…

    Je pense que cette démarche est d'autant plus facile quand on considère l'autre comme étant "remplaçable", ce qui n'est ni mon cas, ni celui de ma femme.

    Peut-être, on peut coucher avec plein de gens avant et tomber amoureux de quelqu'un et se retrouver plus ou moins dans la même configuration.
    Ma femme n'était pas vіегgе quand on s'est rencontré.
    Mais je suis le seul avec lequel elle a couché en étant amoureuse et, en ce sens, on est pareil: Elle a considéré le sехe comme un rite de passage qu'on pouvait faire avec un mec attirant et sympa quand j'y voyais quelque chose de bien plus significatif de mon coté.

    Reste que nous sommes tous deux jeunes qui, à 19 et 24 ans
    se sont rencontrés et avons éprouvé pour la première fois un amour fusionnel de grande intensité, parce que premier.

    C'est une chance quand il perdure et aussi un drame quand il tourne en eau de boudin.
    Beaucoup de gens, je pense, sont affecté par une mauvaise tournure dans leur première relation et c'est facteur d’instabilité affective ensuite.
    J'ai eu de la chance mais, ce jeu dangereux, je ne regrette pas d'avoir dû attendre longtemps avant de commencer la partie.

    Mais prendre l'autre option consistant à s'amuser sехuеllеment pour le рlаіsіг des corps est-il sans risque, du coté affectif
  • nyke41 Membre suprême
    nyke41
    • 17 octobre 2019 à 12:48
    Hooo làlà, a 19 ans , j'étais belle, des cheveux mi-long, jeans noir pour y mettre mon petit сul, trés mince , chemisier et balser Italien, avec bots,et rebannes la grande classe, une vraie Ьгапlеusе ,les années 90 quoi! A l'époque motarde, donc le cuir, le casque et la moto!
    Mais absolument pas sure de moi, trés timide malgrés l'apparence, chose que je ne suis plus aujourd'hui, bien au contraire!
  • pifou Membre suprême
    pifou
    • 17 octobre 2019 à 13:08
    Moi a 19 ans, même avant je plaisais énormément aux hommes
    un cote bad boy, le levis bien serre,le corps d'un jeune homme , un beau сul et mon sourire ravageur faisais le reste
    je n'ai jamais eu de problème pour plaire physiquement en fait, même maintenant mais je trouve que les mecs se laisse trop aller en vieillissant
  • alextremblay Membre expérimenté
    alextremblay
    • 19 octobre 2019 à 08:23
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    À 19 ans, j'étais рuсеаu et trompais ma main droite avec ma main gauche…

    Profil timide, introverti quoique aimant le contact humain.
    Je ne cherchais absolument pas à plaire et jugeait que mon physique ne présentait pas d'avantage particulier.
    C'était d'ailleurs inexact et les filles me trouvaient pas mal malgré mon format grand nain.

    Mais je m'inscris en faux au sujet de ta vision du physique en premier comme outil d'attirance que devrait avoir tout mec de 19 ans.
    À 15 ans, j'avais déjà des idées comme avoir une femme et des enfants et constituer une famille.
    Par exemple, à Noël, je me demandais quand cela serait-il mon tour d'être autour d'une table avec femme et enfants.

    Une vision de catho traditionaliste alors que j'étais athée et m'opposais volontiers à toute forme d'autorité…

    Coucher pour coucher n'avait donc pas de sens pour moi et c'était trouver une femme dont je sois amoureux et qui serait la femme de ma vie et la mère de mes enfants qui avait du sens pour moi, même à 19 ans.
    Je n'avais pas de préjugé moral au sujet du sехe pour le sехe.
    C'est juste que ce n'était pas un ressort suffisant pour moi; il fallait quelque chose d'іпtіmе et fort, affectivement, pour que je saute le pas.

    Bref, je suis resté un Ьгапlеuг jusqu'à 24 ans, le temps de trouver une fille dont je sois amoureux et avec qui j'ai епvіе de coucher et de faire ma vie.

    Une patience récompensée puisque qu'elle est toujours à mes coté plus de trois décennie après et qu'elle m'a donné trois mecs sympas qui sont les plus belles réussites de ma vie.

    Ne pas croire cependant que je brosse un conte de fée:
    J'ai souffert quelque part d'être dans l'attente d'une fille qui me fasse vibrer, je n'ai pas trouvé cool d'être amoureux de filles que je n'intéressais pas ni de dire non à des filles qui me tournaient autour et pour lesquelles je n'accrochais pas.

    Mais j'avais vraiment cette conviction dans mon fort intérieur que mon ԁéрuсеlаgе devait aller de pair avec ce sentiment d'être avec une fille avec qui je voudrais faire ma vie.
    Cela fait très "vieille France" mais je ne regrette pas le voyage.

    Je crois que mon lien affectif incassable avec ma femme, malgré les difficultés de la vie, vient de là.
    On oublie pas sa première relation et le trip qu'on prend alors, on essaie de le retrouver toute sa vie, avec la même ou d'autres… mais avec d'autre, ce n'est pas la même…

    Cette conjonction d'affect et de libido première est, à mon sens, un ciment qui ne peut céder que sous les coups du marteau piqueur d'une volonté de destruction envers l'autre.

    Hors, dans la plupart des couples qui se séparent, on en est pas là mais c'est simplement une routine et de l'indifférence qui sappent la relation.
    On en vient alors dans une collaboration qui se transforme en rapport de force et la recherche de son confort perso devient envisageable au détriment de l'autre…

    Je pense que cette démarche est d'autant plus facile quand on considère l'autre comme étant "remplaçable", ce qui n'est ni mon cas, ni celui de ma femme.

    Peut-être, on peut coucher avec plein de gens avant et tomber amoureux de quelqu'un et se retrouver plus ou moins dans la même configuration.
    Ma femme n'était pas vіегgе quand on s'est rencontré.
    Mais je suis le seul avec lequel elle a couché en étant amoureuse et, en ce sens, on est pareil: Elle a considéré le sехe comme un rite de passage qu'on pouvait faire avec un mec attirant et sympa quand j'y voyais quelque chose de bien plus significatif de mon coté.

    Reste que nous sommes tous deux jeunes qui, à 19 et 24 ans
    se sont rencontrés et avons éprouvé pour la première fois un amour fusionnel de grande intensité, parce que premier.

    C'est une chance quand il perdure et aussi un drame quand il tourne en eau de boudin.
    Beaucoup de gens, je pense, sont affecté par une mauvaise tournure dans leur première relation et c'est facteur d’instabilité affective ensuite.
    J'ai eu de la chance mais, ce jeu dangereux, je ne regrette pas d'avoir dû attendre longtemps avant de commencer la partie.

    Mais prendre l'autre option consistant à s'amuser sехuеllеment pour le рlаіsіг des corps est-il sans risque, du coté affectif

    si tu n'a aucun regret alors cé parfait si non je crois qu'il faut agrémenter avec ce qui nous entoure pour moi je ne peux me plaindre à ce jour

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