VOTRE chanson d'amour ? (page 7) - Musique & cinéma

En réponse au message de serge-herv007 :

Je me suis avisé qu'au temps des niaiseries japonisantes,
Puccini a construit un opéra donnant à une Japonaise
sa personnalité de femme, qu'il a montré les ravages
іпtіmеs du colonialisme, bref qu'il a assumé l'unité
du genre humain et l'égalité de ses membres !

Je crois que c'est assez unique dans l'histoire de l'opéra,
non ?

Butterfly, oui, est bouleversante !
Tant qu'il y aura des séparations dans l'amour,
ce personnage va opérer son сhагmе, il me semble !

Cet opéra à été composé au XXeme siècle, en effet l'histoire est passée par là.

L'opéra est, comme tous les styles musicaux, un témoin et un marqueur de son époque.

Dans cet opéra deux mondes se heurtent entre coutumes, sentiments et convenances.

Ainsi les carcans sociaux ont eu raisons de l'amour.

Au point que j'ai une boule au ventre !

Ce phénomène surnaturel peut durer maxi 9 mois

MIF, quand même, je ne suis pas identifié
à Butterfly au point de faire une grossesse nerveuse !

Et je ne m'identifie pas à Édith Piaf
au point d'être la mère porteuse
de l'enfant d'Edith et de Marcel
par descente d'organes générateurs
depuis un paradis de comédie !

Et puis, cet enfant, je le porterais où donc ?
Dans mes bourses ?
Impossibilité physiologique !

Laisse tomber, MIF, le fапtаsmе !

En réponse au message de pegase49 :

En réponse au message de serge-herv007 :

Je me suis avisé qu'au temps des niaiseries japonisantes,
Puccini a construit un opéra donnant à une Japonaise
sa personnalité de femme, qu'il a montré les ravages
іпtіmеs du colonialisme, bref qu'il a assumé l'unité
du genre humain et l'égalité de ses membres !

Je crois que c'est assez unique dans l'histoire de l'opéra,
non ?

Butterfly, oui, est bouleversante !
Tant qu'il y aura des séparations dans l'amour,
ce personnage va opérer son сhагmе, il me semble !

Cet opéra à été composé au XXeme siècle, en effet l'histoire est passée par là.

L'opéra est, comme tous les styles musicaux, un témoin et un marqueur de son époque.

Dans cet opéra deux mondes se heurtent entre coutumes, sentiments et convenances.

Ainsi les carcans sociaux ont eu raisons de l'amour.

Oui, l'ère Meiji avait fait du Japon une des premières puissances industrielles et navales, au point que le Japon avait vaincu l'Empire russe en 1905, par sa force navale !

Les traditions (le mariage arrangé, fictif, de convenance, sans valeur devant une autorité complaisante et une mère vепԁant sa fille) alliées à la modernité, le surgissement d'une femme pleinement elle, amoureuse, disant ses désirs (mais l'individu est-il vraiment une nouveauté moderne ?)

Puccini avait emmagasiné cela,
et Butterfly est bouleversante !
Cette héroïne n'est pas
une grande dame socialement
ni une femme de l'ancien temps !
L'opéra, aussi, changeait :
Butterfly est une héroïne moderne !

En réponse au message de serge-herv007 :

Excusez cette digression

sur Butterfly, dame japonaise,

elle me bouleverse trop !

Faites vous рlаіsіг demain :

Mercredi 13 Juillet 20h55 diffusion en différé d'Orange de Butterfly sur France 5

La soprano albanaise Ermonela Jaho est une grande interprète du rôle en ce moment

En réponse au message de derby :

En réponse au message de serge-herv007 :

Excusez cette digression

sur Butterfly, dame japonaise,

elle me bouleverse trop !

Faites vous рlаіsіг demain :

Mercredi 13 Juillet 20h55 diffusion d'Orange de Butterfly sur France 5

Une bienheureuse soirée en perspective.

Ben, je vais peut-être donc laissé tomber
mon indifférence à l'égard de la TV !

"Madama Butterfly", demain !

Merci, Derby !!!
Oui, cassons mes habitudes mortifères !

Un amour ne meurt pas !
Mon Portugais est mort,
mais je me souviens combien
il me disait que Barry White
lui rappelait des années de danse
avec des copines et des copains ;
alors, veuillez considérer que c'est
Carlos J. S. G. de A. de Abecassis
qui vous poste ce classique Rn'B !




Et, moi, j'écoute cette voix sacralisée,

exploitée à mort, ce tube passé et repassé,

et les vibrations figées et saisies et conservées

de ces ргоfопԁеurs viriles ; j'écoute ces paroles

convenues, ces ornements d'éternité factice,

et je distingue ce qui m'émeut, et ce qui émouvait

mon compagnon : une voix рéпétгапte, qui travaille

et incline un auditeur pour l'amour !

Il ne me semble pas que Barry White, ce grand chanteur,

dise l'amour vraiment, malgré les paroles manifestes !