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Y à une vie après la zonzon... (page 2) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Y à une vie après la zonzon...
  • menxy Membre élite
    menxy
    • 29 juin 2019 à 14:06
    Ta reflexion est nulle. Il a tué pour echapper a ses mensonges, les taire. Aujourd’hui tout le monde sait. Et tout le monde se méfie. Il a du faire face a ses responsabilités et devra encore le faire a vie. L’emprisonnement ne sert plus a rien sinon a peser pour rien sur le contribuable.

    Sinon tant qu’a emprisonner quelqu’un a vie, autant l’executer! Ca coute moins cher et on ne prend aucun risque d’evasion, de remise conditionnelle, de recidive. Mais la ćest autre debt, et de toute facon si ca devait etre remis en place, ca ne s’appliquera Pas au cas qui nous intéresse. Donc ca sert a eien de s’y attarder.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 29 juin 2019 à 14:23
    En réponse au message de menxy :

    Ta reflexion est nulle.

    Voila donc ma réflexion nulle:

    En réponse au message de parfum-de-femme :


    Tu as raison: Le type a tué ses deux parents, ses deux enfants et sa femme.
    Il n'aurait tué personne qui ne soit pas lié à son histoire personnelle de mytho.

    Mais c'était déjà vrai le lendemain du crime…

    En suivant ta logique jusqu'au bout, c'était pas la peine de l'incarcérer…

    Ce que tu ajoutes n'enlève rien à celle-ci:
    En réponse au message de menxy :


    Il a tué pour echapper a ses mensonges, les taire. Aujourd’hui tout le monde sait. Et tout le monde se méfie. Il a du faire face a ses responsabilités et devra encore le faire a vie. L’emprisonnement ne sert plus a rien sinon a peser pour rien sur le contribuable.

    Ma réflexion nulle pose au contraire l'importante question du fondement de l'incarcération de quelqu'un.

    - Soustraire quelqu'un de dangereux pour autrui à la société.
    - Punir
    - …

    J'illustrai simplement que ce type (et ton propre commentaire le confirme) n'était pas en prison pour une question de danger pour la société mais pour SA société (proches) qu'il a, sans procédure administrative préalable, liquidé.

    Partant de là, c'est ton commentaire à toi, sur lequel j'ai réagi, qui manque alors de consistance:

    En réponse au message de menxy :


    Pourquoi le garder en taule? Ca coute cher au contribuable, elle sont surpeuplées... et puis franchement, il sera un danger pour qui cet homme?

    Tu fais impasse sur le caractère punitif de l'emprisonnement.

    Pose la question aux proches des victimes, leur désir est certainement que ce type n'existe plus, que cela ait été en passant de vie à trépas ou en faisant tout comme par un emprisonnement à perpet…

    Perso, je trouve plus humain de liquider des meurtriers incontestables comme lui que de les laisser moisir le reste de leurs jours en taule.

    Si la société n'en a pas les moyens, il reste toujours la possibilité de revenir à la solution antérieure qui abolie le temps de la peine…

    24716144-une-vieille-guillotine-utilis%C3%A9e-pour-les-ex%C3%A9cutions-par-d%C3%A9capitation-dans-la-r%C3%A9volution-fran%C3%A7aise.jpg
  • blue-arts Légende urbaine
    blue-arts
    • 29 juin 2019 à 15:07
    En réponse au message de coucoumevoilou :

    On pt TUER 5 membres de sa famille,
    Passer 26 années en zonzon,
    Et de nouveau, se voir offrir une "nouvelle vie",
    En milieu "monacal", certes,
    Mais, dehors...
    Pas mal qd mm...
    C JUSTE HONTEUX !!!!
    Et la pauvre famille, elle,
    N'a pas eu de seconde chance...

    Que l'enfer l'accompagne le reste de sa vie...

    Ré - instaurée la GUILLOTINE executer en place PUBLIC ouii il y aurais moins de Calus sur ma belle planette dite terre ...
  • blue-arts Légende urbaine
    blue-arts
    • 29 juin 2019 à 15:11
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de menxy :

    Ta reflexion est nulle.

    Voila donc ma réflexion nulle:

    En réponse au message de parfum-de-femme :


    Tu as raison: Le type a tué ses deux parents, ses deux enfants et sa femme.
    Il n'aurait tué personne qui ne soit pas lié à son histoire personnelle de mytho.

    Mais c'était déjà vrai le lendemain du crime…

    En suivant ta logique jusqu'au bout, c'était pas la peine de l'incarcérer…

    Ce que tu ajoutes n'enlève rien à celle-ci:
    En réponse au message de menxy :


    Il a tué pour echapper a ses mensonges, les taire. Aujourd’hui tout le monde sait. Et tout le monde se méfie. Il a du faire face a ses responsabilités et devra encore le faire a vie. L’emprisonnement ne sert plus a rien sinon a peser pour rien sur le contribuable.

    Ma réflexion nulle pose au contraire l'importante question du fondement de l'incarcération de quelqu'un.

    - Soustraire quelqu'un de dangereux pour autrui à la société.
    - Punir
    - …

    J'illustrai simplement que ce type (et ton propre commentaire le confirme) n'était pas en prison pour une question de danger pour la société mais pour SA société (proches) qu'il a, sans procédure administrative préalable, liquidé.

    Partant de là, c'est ton commentaire à toi, sur lequel j'ai réagi, qui manque alors de consistance:

    En réponse au message de menxy :


    Pourquoi le garder en taule? Ca coute cher au contribuable, elle sont surpeuplées... et puis franchement, il sera un danger pour qui cet homme?

    Tu fais impasse sur le caractère punitif de l'emprisonnement.

    Pose la question aux proches des victimes, leur désir est certainement que ce type n'existe plus, que cela ait été en passant de vie à trépas ou en faisant tout comme par un emprisonnement à perpet…

    Perso, je trouve plus humain de liquider des meurtriers incontestables comme lui que de les laisser moisir le reste de leurs jours en taule.

    Si la société n'en a pas les moyens, il reste toujours la possibilité de revenir à la solution antérieure qui abolie le temps de la peine…

    24716144-une-vieille-guillotine-utilis%C3%A9e-pour-les-ex%C3%A9cutions-par-d%C3%A9capitation-dans-la-r%C3%A9volution-fran%C3%A7aise.jpg

    Tout a fait PDF...
  • acis Membre élite
    acis
    • 29 juin 2019 à 17:10
    En réponse au message de menxy :

    Bon les enfants... autant je comprend que la dites famille soit en colere, que l’opinIon publique... elle est victime de rien, et vous non plus!

    Ce mec a le droit a une seconde chance dites vous... ila quoi? 65 ans? Il est deja a la retraite, sans un sous, personne ne lui donnera de boulot a son age et vu son passé, et il a pas les moyens de monter une affaire.

    Tu parles d’un nouveau départ! La vie monacale c’est le mieux qu’il puisse avoir.

    Pourquoi le garder en taule? Ca coute cher au contribuable, elle sont surpeuplées... et puis franchement, il sera un danger pour qui cet homme? La france zntizre le deteste de toute façon. Donc sa peine, elle se poursuit.

    Passez a autre chose.

    Merci Menxy.

    En ne portant le regard que sur les seules victimes et sur la seule nature du crime sans tenir compte des circonstances de sa commission, de la personnalité du coupable et des ses changements éventuels après sa condamnation, les imprécateurs épris de vengeance contre les délinquants criminels réclament, sous couvert de la justice, l'application d'une vindicte sociale.

    Qui connaît la justice et le procès d'assises - loin des chroniques judiciaires à la manque destinées à ехсіtег l'audimat et le lectorat ou à affoler le compteur de clics - mesure combien un jugement reposant sur l'іпtіmе conviction demeure trop faillible pour déboucher sur une peine sans fin.

    Qui connaît la prison mesure la dureté des conditions de détention, ce que représentent vingt-six années d'enfermement à l'échelle d'une vie, et combien la vie de liberté consécutive peut en demeurer marquée.

    Qui a pris le temps de réfléchir à la vocation et à l'utilité sociale de la peine telle qu'elle est issue de l'histoire de notre droit pénal connaît l'apport médiéval du droit canon sur l'évolution de la justice, l'apport des Lumières et de grands penseurs comme Mabillon sur la doctrine de la justice criminelle.

    Qui a pris le temps d'appréhender l'individualité du délinquant comprend que les êtres ne sont pas nécessairement figés de toute éternité dans un état d'esprit criminel ; que la peine longue a également une dimension perfectionnelle ; que la plus grande réussite de la justice est de permettre au coupable condamné de retrouver une place dans la société dès lors qu'il a été puni assez pour mesurer la gravité de son crime et qu'il ne représente plus un danger pour l'ordre public.

    Mais bon ! Renions les principes issus de notre de l'histoire singulière de notre société ; réclamons une justice implacable prononçant des peines perpétuelles ou de mort - sans laisser la possibilité à l'individu de s'amender - pour mieux étancher la soif vengeresse du peuple.

    Aucun système judiciaire n'est parfait ni totalement juste et le nôtre peut être critiqué sous certains de ses aspects. Mais quitte à choisir en plusieurs systèmes faillibles, je préfère que les individus soient préservés du tribunal de l'opinion.
  • coucoumevoilou Membre élite
    coucoumevoilou
    • 29 juin 2019 à 17:11
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de menxy :


    Pourquoi le garder en taule? Ca coute cher au contribuable, elle sont surpeuplées... et puis franchement, il sera un danger pour qui cet homme?

    Tu as raison: Le type a tué ses deux parents, ses deux enfants et sa femme.
    Il n'aurait tué personne qui ne soit pas lié à son histoire personnelle de mytho.

    Mais c'était déjà vrai le lendemain du crime…

    En suivant ta logique jusqu'au bout, c'était pas la peine de l'incarcérer…

    ET VS OUBLIEZ LE СНӏЕN !!!! Autre victime

    Vs en connaissez bcp d repris de justice qui retrouvent un toit, un emploi, très pneu...
    Lui, est à l'abri...De tt ceci,
    Un toit, le gîte, le couvert, la "paix"...

    Un pneu de compassion pr les victimes, les familles restantes...
    G le droit, (et gauche), que ça vs dérange ou pas,
    Ce nez pas à vs, "parfumdefemme" que cette parenthèse s'adresse
  • coucoumevoilou Membre élite
    coucoumevoilou
    • 29 juin 2019 à 17:22
    En réponse au message de acis :

    En réponse au message de menxy :

    Bon les enfants... autant je comprend que la dites famille soit en colere, que l’opinIon publique... elle est victime de rien, et vous non plus!

    Ce mec a le droit a une seconde chance dites vous... ila quoi? 65 ans? Il est deja a la retraite, sans un sous, personne ne lui donnera de boulot a son age et vu son passé, et il a pas les moyens de monter une affaire.

    Tu parles d’un nouveau départ! La vie monacale c’est le mieux qu’il puisse avoir.

    Pourquoi le garder en taule? Ca coute cher au contribuable, elle sont surpeuplées... et puis franchement, il sera un danger pour qui cet homme? La france zntizre le deteste de toute façon. Donc sa peine, elle se poursuit.

    Passez a autre chose.

    Merci Menxy.

    En ne portant le regard que sur les seules victimes et sur la seule nature du crime sans tenir compte des circonstances de sa commission, de la personnalité du coupable et des ses changements éventuels après sa condamnation, les imprécateurs épris de vengeance contre les délinquants criminels réclament, sous couvert de la justice, l'application d'une vindicte sociale.

    Qui connaît la justice et le procès d'assises - loin des chroniques judiciaires à la manque destinées à ехсіtег l'audimat et le lectorat ou à affoler le compteur de clics - mesure combien un jugement reposant sur l'іпtіmе conviction demeure trop faillible pour déboucher sur une peine sans fin.

    Qui connaît la prison mesure la dureté des conditions de détention, ce que représentent vingt-six années d'enfermement à l'échelle d'une vie, et combien la vie de liberté consécutive peut en demeurer marquée.

    Qui a pris le temps de réfléchir à la vocation et à l'utilité sociale de la peine telle qu'elle est issue de l'histoire de notre droit pénal connaît l'apport médiéval du droit canon sur l'évolution de la justice, l'apport des Lumières et de grands penseurs comme Mabillon sur la doctrine de la justice criminelle.

    Qui a pris le temps d'appréhender l'individualité du délinquant comprend que les êtres ne sont pas nécessairement figés de toute éternité dans un état d'esprit criminel ; que la peine longue a également une dimension perfectionnelle ; que la plus grande réussite de la justice est de permettre au coupable condamné de retrouver une place dans la société dès lors qu'il a été puni assez pour mesurer la gravité de son crime et qu'il ne représente plus un danger pour l'ordre public.

    Mais bon ! Renions les principes issus de notre de l'histoire singulière de notre société ; réclamons une justice implacable prononçant des peines perpétuelles ou de mort - sans laisser la possibilité à l'individu de s'amender - pour mieux étancher la soif vengeresse du peuple.

    Aucun système judiciaire n'est parfait ni totalement juste et le nôtre peut être critiqué sous certains de ses aspects. Mais quitte à choisir en plusieurs systèmes faillibles, je préfère que les individus soient préservés du tribunal de l'opinion.

    G côtoyé une personne qui, pendant presque 3 ans, était sous contrôle judiciaire, a connu l'incarcération.
    Je connait tt ceci.
    Elle ne supportait pas le bruit de clés, les sirènes de police, les voyait partout.
    M'a raconté d choses horribles, dont je vs ferai grâce, et je dois éviter d'en dire trop.
    Les contrôles judiciaires chaque semaine au commissariat, l'avocat, le juge...une fois/mois,
    Les sorties interdites le soir jusqu'au petit matin.
    Ns ne sommes pas à l'abri de tt perdre du jour au lendemain, travail, logement, (enfants)...
    Il faut savoir choisir ses relations, savoir se "tiendre",
    Les addictions n'aident pas...
    Après le jugement, voire, sortie de prison, (prévenue 1h avant), retrouver un emploi, appartement, repartir de zéro...
    Le côté positif, c la guérison aux addictions...(temporaires)...
    Bref, g vécu aux côtés d'une personne "délinquante", alcool, ԁгоguе, hôpital psychiatrique...
    Je connait la vie, merci bien
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 29 juin 2019 à 20:29
    En réponse au message de acis :


    En ne portant le regard que sur les seules victimes et sur la seule nature du crime sans tenir compte des circonstances de sa commission, de la personnalité du coupable et des ses changements éventuels après sa condamnation, les imprécateurs épris de vengeance contre les délinquants criminels réclament, sous couvert de la justice, l'application d'une vindicte sociale.

    La question n'est pas celle du repentir pour une raison très simple: Le repentir ne ressuscite pas les gens.

    En réponse au message de acis :


    Qui connaît la justice et le procès d'assises

    C'est bien en connaissant cela que je parle de peine de mort pour les assassinats incontestables.


    En réponse au message de acis :


    Qui connaît la prison mesure la dureté des conditions de détention, ce que représentent vingt-six années d'enfermement à l'échelle d'une vie, et combien la vie de liberté consécutive peut en demeurer marquée.

    C'est bien pour cela que je trouve la peine de mort plus humaine.

    En réponse au message de acis :


    Qui a pris le temps de réfléchir à la vocation et à l'utilité sociale de la peine telle qu'elle est issue de l'histoire de notre droit pénal connaît l'apport médiéval du droit canon sur l'évolution de la justice, l'apport des Lumières et de grands penseurs comme Mabillon sur la doctrine de la justice criminelle.

    La peine de prison a vertu à dissuader de la récidive.
    C'est un leurre et son effet est statistiquement inverse.

    La peine de mort est souveraine pour ce qui est de prévenir des récidives…

    En prison, tu as des gens qui ont utilisé la force, les armes, la violence pour parvenir à obtenir des avantages illégaux sur autrui.
    Tout comme en est légitime d'utiliser la force pour les arrêter, on doit pouvoir l'utiliser pour les remettre dans le droit chemin ou les éliminer.
    C'est une doctrine intemporelle et universelle.

    De plus, la peine de mort existe encore dans les faits en France: Cela s'appelle la légitime défense.

    Quelqu'un en veut à ta vie; tu te défends et le tues, tu ne sera pas poursuivi.

    En réponse au message de acis :


    Qui a pris le temps d'appréhender l'individualité du délinquant comprend que les êtres ne sont pas nécessairement figés de toute éternité dans un état d'esprit criminel ; que la peine longue a également une dimension perfectionnelle ; que la plus grande réussite de la justice est de permettre au coupable condamné de retrouver une place dans la société dès lors qu'il a été puni assez pour mesurer la gravité de son crime et qu'il ne représente plus un danger pour l'ordre public.

    Toute personne est capable du meilleur comme du pire.
    Cette potentialité n'enlève rien au fait de commettre un meurtre.
    Le meurtrier aurait une part de bien en lui; je suis d'accord.
    Mais, à partir du moment où ce n'est pas cela qu'il a exprimé, il se rend coupable de ses actes.

    Nordal Le Landais aime les сhіепs, cela lui vaut quelle remise de peine à tes yeux

    En réponse au message de acis :


    Mais bon ! Renions les principes issus de notre de l'histoire singulière de notre société ; réclamons une justice implacable prononçant des peines perpétuelles ou de mort - sans laisser la possibilité à l'individu de s'amender - pour mieux étancher la soif vengeresse du peuple.

    Il ne s'agit pas tant de vengeance que de pragmatisme et d'ordre publique.
    La loi naturelle est évidente et est à la base du principe de notre société judéo-chrétienne: Tu ne dois pas tuer.

    Si tu le fais, deux cas de figures: meurtre volontaire ou involontaire.

    La mort volontaire, l'assassinat donc, mérite la mort dans nos sociétés depuis la nuit des temps.
    Cela fait moins de 50 ans que cela ne se fait plus chez nous.

    Ce n'est pas un choix de société mais le parti-pris d'une minorité agissante qui ne traduisait pas l'opinion publique.

    La mort involontaire est à l'origine de la notion de "vengeur de sang".

    Le plus proche parent de la victime étant en droit de tuer le meurtrier involontaire.
    Autre concept antique: Les villes de refuge où le meurtrier involontaire pouvait se réfugier.
    De cette façon, il était soustrait de la société qui l'avait vu perpétrer son acte; il était comme mort pour elle.

    La raison ргоfопԁе de tout cela consistant à vivre dans une société où la vie était sacré et où la supprimer pour autrui valait reconnaissance que la sienne devenait sacrifiable pour la société.

    Tu dis que la justice doit permettre au meurtrier de retrouver sa place dans la société.
    Pour moi, la justice doit d'abord et avant tout veiller à ce que personne de devienne meurtrier et, chaque fois que cela arrive de façon volontaire et prémédité, de soustraire d'une façon ou d'une autre l'individu de la société.

    C'est une simple question de bon sens et un référendum sur la question verrait la majorité des Français abonder dans ce sens.

    Ce qui dérange les gens, c'est le risque d'erreur judiciaire et la façon de mettre à mort.
    Pour les meurtres incontestables et les exécutions par sédations, tu aurai une grande majorité pour.

    En réponse au message de acis :


    Aucun système judiciaire n'est parfait ni totalement juste et le nôtre peut être critiqué sous certains de ses aspects. Mais quitte à choisir en plusieurs systèmes faillibles, je préfère que les individus soient préservés du tribunal de l'opinion.

    Ce n'est pas l'opinion qui condamne mais avant tout les victimes dont le sang versé réclame une "compensation correspondante".

    Il ne s'agit pas non plus de se cacher derrière la faillibilité de la justice dans son cas comme dans beaucoup d'autres parce que l'on est bien plus en mesure de rendre incontestable la réalité des meurtres et de leurs auteurs, de par les progrès de police scientifique, les caméras publiques,…
    Je pense à de nombreux meurtriers qui sont dans nos prisons et au sujet desquels il n'existe aucun doute quand à leur culpabilité.

    Tout cela étant posé, le minimum du minimum serait de conditionner une remise de peine de la personne dont on parle à l'accord des proches des victimes.
    Un moyen de faire en sorte que leur souffrance soit prise en compte dans cette décision…

    Tu vois, ton commentaire donne l'impression que ceux qui veulent le voir rester en prison ne réfléchissent pas; tu es à mon avis loin du compte.

    Pour la petite histoire, j'ai une cousine qui a fait 20 ans de prisons belges pour le meurtre de son mari.
    Je ne m'exprime donc pas sans savoir que ce dont on parle peut toucher n'importe qui…
  • menxy Membre élite
    menxy
    • 29 juin 2019 à 23:15
    Acte definitif donc punition definitive? C’est pas du pragmatisme, c’est de la vengeance au nom de l’opinion.

    Encore une fois je peux pas juger le sentiment des familles des victimes. Mais le reste de la population n’a qu’a passer a autre chose. On avance pas en ressassant sans cesse le passé.

    Le pragmatisme, c’est savoir laisser derriere soi une affaire reglee, quelle qu’elle soit. Et se concentrer sur ce qu’il y a construire.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 29 juin 2019 à 23:38
    En réponse au message de menxy :

    Acte definitif donc punition definitive? C’est pas du pragmatisme, c’est de la vengeance au nom de l’opinion.

    Encore une fois je peux pas juger le sentiment des familles des victimes. Mais le reste de la population n’a qu’a passer a autre chose. On avance pas en ressassant sans cesse le passé.

    Le pragmatisme, c’est savoir laisser derriere soi une affaire reglee, quelle qu’elle soit. Et se concentrer sur ce qu’il y a construire.

    Donc, pour toi, cinq personnes sont mortes, 26 ans ont passé et l'affaire est réglée…
    Mais en quoi donc est-elle réglée

    Si ta prétention au pragmatisme est exacte, tu dois avoir quelque chose de concret à répondre.
    Sinon, ce n'en est pas; c'est juste que tu n'en as rien à foutre du malheur causé par cet individu…

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