A mots ouverts (page 2) - Littérature & poésie

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Ne soyons pas méchants, 01/20.

A peine deux lignes, aucune photo, aucune vidéo, bref, aucun document, aucun contenu, ce qui démontre que l'auteur n'en Ьгапlе pas une...

Ne soyons pas méchants, 01/20.

A peine deux lignes, aucune photo, aucune vidéo, bref, aucun document, aucun contenu, ce qui démontre que l'auteur n'en Ьгапlе pas une...

Ca aurait pu être le cas si Superpositoire était passé dans le coin !

Quelqu'un vous propose, gentiment, sous une forme ouverte, une chose inédite, de coopérer, ensemble, à un exercice commun d'écriture, et vous avez le culot de vomir de l'acide, de suite.

Aucun esprit d'invention !
Et si vous vous notiez vous-mêmes ?


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Je propose le thème "le flacon de parfum".

Et vous êtes priés de commencer vos phrases en suivant l'ordre des lettres de l'expression "Le flacon de parfum", soit seize lettres marquant le début de seize phrases, et si vous faites dix-sept phrases ou davantage, retour au "l".

Voilà.

Vous avez, en plus du thème, une contrainte, qui va stimuler vos petits neurones, n'est-il pas ?

Pendant que je ponds, je vous laisse cogiter !

Le flacon de parfum.

Lactescence du verre, ellipse sепsuеllе.
Émanation souveraine en mon souvenir !
Fragrance sur ta peau, élevant mon désir !
L'odorat en partance, tout comme une hirondelle...

Ancienneté des voix, venant à tire-d'aile.
Consommation des temps, pour l'ultime soupir !
Odeur anthropophage, mon cœur est dans l’inspire !
Nuageuse contrée, que la hauteur est belle !

Dût-on en trépasser, je te respire à fond.
Égalité des sens, que le calme est ргоfопԁ.
Plumet équatorial, qui me navre et m'étonne.

Ah ! l'étrange appareil, velouté, qui résonne.
Raréfaction de l'air, je suis comme un damné.
Fidélité du songe, auquel je su-is né.

Ultime, invincible, extatique et onctueux...
Morte est la mort, vive est la vie, ô liquoreux !


La forme du sonnet, pour utiliser toutes les lettres de départ des phrases, exige, en plus des quatorze vers, un envoi de deux vers !!!

Du coup, l'heure passant, je vous quitte !

Et que ça carbure sous vos calottes crâniennes, qui me paraissent bien encrassées, nom de Zeus et d'une ріре en bois.

Ah, vous croyiez que l'OULIPO (oui, Monsieur, parfaitement, Queneau et Compagnie, l'Ouvroir de Littérature Potentielle) se serait échiné, en vain, à pondre, qui un récit de sa vie en vers (Queneau), qui un roman comme "La disparition" sans la lettre "e" (Georges Perec), et que vous y couperiez, mmmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhh ?

Nenni, macache !

Vous croyiez qu'on allait pouvoir longtemps lâcher des insanités comme les phrases télégraphiques, qui permettent d'accéder au rang de "membre suprême" fortiche haut la main, facile, ou des "+ 1", sans que vienne s'intercaler une séance collective d'écriture ?

Je RIS, je RIS, je RIS !!!

Oui, je pouffe !!!

Un peu d'émulation, têtes de mules !!!

Ah, une LICENCE (poétique), si vous voulez prendre les lettres ԁéЬutапt les phrases dans un ordre descendant (depuis la fin vers le début), admettons.

Mais le sujet reste "Le flacon de parfum".

Zzzzzzzzzzzz

J'ai faim
J'ai faim de ton odeur enivrante,
De tes formes voluptueuses,
De ta tiède consistante,
De ta croûte mordorée,
De ton intérieur fondant,
De ta pâte moelleuse,
De ton goût délicat,
Mon petit pain au chocolat.

C'est un sujet plus simple (pour les ԁéЬutапts):
il suffit de commencer par "J'ai faim..." et de poursuivre jusqu'à la fin!