En réponse au message de parfum-de-femme :
Prendre la poésie pour vomir son dépit,
C’est sortir des couleurs pour ne peindre que des restes.
Belle balade en nature, coffre ouvert de mépris,
Traverser l’océan pour y donner la peste.
Il y a tant à dépeindre de sublimes beautés,
De cœurs qui se rapprochent tendrement enlacés,
D’action qui magnifient la vie qui coule en nous,
Pourquoi donc s’attarder sur un vieux bout de mou ?
Complètement tari de ce qui fait la vie,
Vieille branche cassante qui ne peut plus plier,
Ne peut se signaler que par des grincements,
Dans l’attente inquiète du dernier gémissement.
Pourtant, la nature est jolie et le soleil radieux,
Dans la rue, des sourires, des enfants qui s’ébattent,
La vie et son pouvoir de donner la patate,
À tout vieux tubercule qui sait quoi faire des yeux.
première strophe rimes alternées
dépit et mépris rimes très pauvres
rime féminine à l'hémistiche impose une voyelle au second hexamètre
deuxième vers 13 pieds au lieu de 12
troisième vers terminé par une féminine même problème que pour le premier vers
deuxième strophe
premier vers sixième pied terminé par un e même erreur à l'hémistiche
deuxième vers action singulier verbe pluriel donc problème identique à l'hémistiche
les rimes deviennent plates et non plus alternées
troisième strophe
premier vers sixième pied qui phonétiquement rime avec le douzième interdit
par contre les rimes plates du premier et second vers ne riment pas ensembles
deuxième vers toujours pas d'élision à l'hémistiche
quatrième vers toujours problème à l'hémistiche et 13 pieds au lieu de 12
Quatrième strophe
premier vers 15 pieds
deuxième vers 7 pieds à l'hémistiche impossible quatrième vers problème élision hémistiche
les rimes sont maintenant embrassées...
A corriger pour l'écriture des vers...
Je me tais sur la raison d'écrire un tel texte!